Posté par BernartZé le 3 septembre 2012

L’enfance
Une succession de marquages au fer rouge ?…

(© 2012/droits réservés)
Cet article a été publié le Lundi 3 septembre 2012 à 6:37 et est catégorisé sous Question de point de vue.
Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires.
Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.
Des bases heureuses, tout simplement.
Ah oui.
Et dans une version moins idyllique ?…
B.
Que répondre, si ce n’est que je suis un idéal à moi toute seule
).
[Sérieusement, le seul moment vivant de ma vie, c'est triste, non ?]
Sans doute est-ce dû à mon manque d’à propos, mais je ne suis pas très sûr de vous avoir comprise.
Vouliez-vous dire [sérieusement] que vous estimez n’avoir été en vie que le temps de l’enfance ?
Cela peut laisser « songeur » quant au regard porté sur votre vie d’adulte.
Et moi qui croyais vous avoir perçue -malgré tout- plus optimiste que…d’autre (!)
…
B.
(vivante, pas en vie – c’est quoi la vie adulte ? – aucun rapport avec l’optimisme, plutôt avec l’indifférence )
La vie adulte ? : je ne saurais dire…par manque de talent ou d’expériences « transformées » (rarement entre les poteaux !).
Une vie d’adulte : une simple question d’âge, une contrainte du temps, forcément (!)
Comment faites-vous pour demeurer « optimiste » malgré votre indifférence…-apparemment- définitive ?
…
B.
Je ne dirais pas optimiste, je préfère « légère », la légèreté va bien avec l’indifférence
[ma devise : Rien n'est important, tout faire sérieusement]
De la légèreté à l’insouciance : y verriez-vous un pas intermédiaire…pour le meilleur, sans risque du pire ?
…
B.