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Un moment d’égarement

Posté par BernartZé le 28 janvier 2014

Webcam

Indiscrétions

           

            Il est des radioscopies de l’âme tellement insidieuses Radioscopie ! qu’elles semblent presque s’immiscer Manométrie colique…dans des zones où la parole ne fait pas écho (comme dans le fond d’une Tasse à café !)

 

     Aucun psy machin-chose ne saurait voir aussi loin.

 

Paire de jumelles 

(© 2014/droits réservés)

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N’importe quoi !!

Posté par BernartZé le 25 janvier 2014

Sparadrad rond

Cache-misère

(ultime supplément au « triptyque »)

          

            Tout rond tout bon et nettement plus discret en plein milieu d’un front… dépressionnaire Front dépressionnaire !

 

     Après les écoulements sanguins Écoulements sanguins, vient l’heure du répit.

Les soifs ne sont pas les seules à devoir être étanchées.

 

Pansements 

(© 2014/droits réservés)

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Étrangement bizarre…

Posté par BernartZé le 25 janvier 2014

 

Bringuebalante

Il faut être tarée pour aimer tant l’école

               

            Fut-elle plus que cinglée Romy Schneider - Max et les ferrailleurs (1971) ?

 

Azimutée serait peut-être un terme plus approprié pour traduire l’addiction d’une écolière en mal de (re)connaissance ?

 

     C’était un cas, sans doute pas unique en son genre, mais suffisamment rare pour que l’on s’en souvienne.

Elle voulait tout : savoir, apprendre, connaître et découvrir ; une vraie tête chercheuse Tête chercheuse !

Pas aussi exceptionnelle qu’un Gainsbourg mais suffisamment décalée pour entrer dans la catégorie des étrangement bizarres à côté de la plaque.

Elle n’aimait rien tant que d’aller à l’école et ce dès la maternelle où elle découvrit…un immense sapin Le grand sapin ! à Noël.

Sans doute touchait-il le plafond et elle, toute petite à son pied, garda le souvenir d’une journée mirifique passée assise en rond au milieu de ses petits camarades.

Elle eut droit -deux années d’affilée- au même cadeau : une DS 19 à friction DS 19 à friction avec tout son paquetage ; drôle de présent…peu approprié (en ce temps-là) pour une petite fille en herbe.

Le bonheur, malgré tout !…

De quoi tomber à la renverse A la renverse ; ce qu’elle fit.

Miaou…

 

     Au fil du temps, des années et des classes, la chose ne s’arrangea pas.

Elle continua à se lever le matin toujours emplie de gaieté en pensant à la journée qui l’attendait.

Ravie ! Guillerette et sobrement vêtue (ne portant pas de pot au lait) elle allait le plus souvent à grands pas avec ses  bottes de sept lieues Bottes de sept lieues en pédalant sur son vélo avant d’enfourcher, quelques années plus tard, sa superbe OLYMPUS DIGITAL CAMERA bécane à moteur pour se rendre au lycée.

Pas glorieuse mais fort vaillante, celle-ci la portait fissa jusque dans sa classe.

Et , il lui semblait retrouver ses marques au milieu de ses congénères dont certains paraissaient presque être des amis.

Les premiers troubles pointèrent réellement le bout de leur nez à l’adolescence, évidemment.

 

     Son addiction se fixa sur un camarade de classe qu’elle avait remarqué pour des raisons qu’elle mit longtemps à comprendre.

Ni beau ni moche, il était différent et elle se prit d’empathie pour lui.

D’abord modérément, puis vite à la folie.

Au point de ne plus pouvoir penser à autre chose.

Suite à un malencontreux accident de Scooter des neiges scooter des neiges, il revint des vacances de Noël avec un plâtre et une sémillante paire de Béquilles.

Bouleversant…

Au point de se surprendre elle-même en se laissant aller à…humer le col et une manche de son blouson abandonné là sur le dossier d’une chaise entre deux heures de cours ; elle se risqua aussi à faire une ou deux poches avant de s’en vouloir violemment.

Réflexion faite, il était non seulement différent mais définitivement beau autant que séduisant tant il semblait avoir besoin d’aide.

Elle fit en sorte d’exister à ses yeux ; mais comment trouver sa place au milieu d’un parterre de prétendantes zélées ?

Et s’écoula le temps (des larmes aussi) tandis que la pluie tombait…

 

     Quelques années plus tard…

En fin de terminale, alors qu’elle aurait dû ne plus songer qu’à bachoter, son obsession la portait encore inévitablement vers lui.

Inlassablement ses pensées n’avaient de cesse de la faire dériver.

Un jour, une nuit de grande dépression, elle se laissa aller à célébrer des fiançailles Bague acier carbone or 750 imaginaires avec une bague (en acier…mais rehaussée de carbone et d’or 750 !) qu’elle s’était offerte huit mois plus tôt à l’occasion de soldes.

Toute seule chez elle, en soufflant une bougie, elle s’efforça d’assumer le pathétique de sa situation.

Amoureuse…émouvante, tragique et pitoyable comme une tanche Tanche.

Il y avait bel et bien « péril en la demeure » ; du coup, éperdue de regrets, elle choisit la fuite en avant direction la fac psycho Fac psycho (tiens, tiens…).

La distance prise fut d’autant plus grande qu’il avait échoué au Bac faute d’avoir pensé à réviser.

Exit les amours lycéennes.

 

     Un homme  Une ombre passantede l’ombre passant par là…profita de l’occasion pour en sortir.

Elle le prit tout d’abord pour un étudiant, ce qu’il était, mais aussi maître-assistant Maître de conférences.

Téléphone d'antan (!) Allô la Lune ?, ici la Terre… ; il était étrangement bizant et fuyarre et descendait seulement de temps en temps de sa propre planète.

Evidemment très séduisant parce que terriblement intrigant sur son petit vélo perso Sur son petit vélo avec lequel il parcourait le campus, il savait revenir à des sujets plus terre-à-terre dès qu’il était question d’enseignement.

Capable de se lancer dans de larges échappées verbales, c’est ainsi qu’il l’avait fascinée, malgré lui.

De longues nuits, de grandes conversations…blablabla et le sort avait été jeté.

 

     Quand survint la timide annonce Bague argent 925 d’un amoureux malaisé…un peu gauche et pas très adroit.

Son sens de la rhétorique s’étant soudain évanoui, il avait laissé place au silence et aux sourires grimaçants.

Nulle question de fiançailles -oh non my God !- juste un geste, une offrande, pour signifier une inclination Jeune inconnu à son encontre.

Elle fut cependant surprise, ne s’imaginant pas susceptible d’éveiller de tels sentiments sans les avoir vivement sollicités.

Mon Dieu, quel embarras !

 

            Cette drôle et étrange histoire s’acheva en Queue de poisson le jour où elle disparut brutalement des écrans radar ayant décidé, après une ultime volte-face, de ne plus aimer l’école ; plus jamais.

Beuh ?…

 

Danseur de hip hop (C’est ainsi…)

 (© 2014/droits réservés)

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Coup de tête

Posté par BernartZé le 19 janvier 2014

 Zeste d'orange sanguine

Traumatisme bilatéral

(Un seul t’aime) 

            

            Une recette infaillible : écraser simplement une belle Orange sanguine sur un nez Ailes de nez ; il lui poussera des ailes en forme de moustaches Moustaches sanguines !

Un seul geste malheureux suffit Zeste sanglant à l’épanchement de trop de sentiments jusque-là retenus.

Pour la plus belle déconfiture Confiture méditerranéenne d'orange sanguine

 

Orange sanguine en rosace 

(© 2014/droits réservés)

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C’est la vie (…dit-on) !

Posté par BernartZé le 19 janvier 2014

Uppercut

Passé à tabac

           

            Et finir face contre terre.

 

     La vie par là est passée Plus dure sera la chute - Mark Robson (1956)

[Rien de plus]

 

Passage à tabac (1964)

(© 2014/droits réservés)

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A bout de course…

Posté par BernartZé le 16 janvier 2014

Épuisement

Fatigué, fatigué fatigué…

           

            Tellement au bord de l’épuisement que le rêve ultime serait d’aller mourir enfin au fond d’un canoë monoplace Canoë (2).

 

C’est dire !

 

Mort de fatigue

(© 2014/droits réservés)

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C’est la vie !

Posté par BernartZé le 13 janvier 2014

Visage contusionné

Rupture au miroir…

 (attraction désastreuse)

           

            Mais qui c’est celui-là ?!

 

     Impossible de le reconnaître avec son nouveau faciès revisité ; difficile de retrouver les traits d’avant…hier.

La faute à qui donc ? La faute à Napoléon bien sûr !

(point d’Acadiens en vue pourtant)

 

     Overdose d’opium Opium, fumée de rêve (2006) ou fin de rêve ?

Agression contre la personne ou passage à tabac suite à un règlement de compte ?

Plus simplement : dans un écran de fumée sans feu, il a été pris d’une irrépressible envie d’aller embrasser le sol au pied d’un escalator à la sortie du métro.

Il a suffi qu’une semelle de chaussure heurte malencontreusement une aspérité et…vlan la bascule fatale en avant !

Et ce fut le drame !

Pas même le temps de s’interroger pour savoir si son cœur le lâchait Que le cœur lâche, qu’il s’était déjà écrasé face contre terre.

Le sang coula à flots.

 

     Et tout s’enchaîna vite Renault Master des Sapeurs Pompiers de Paris, Fauteuil roulant d'hôpital puis extrêmement lentement une fois arrivé aux urgences de l’hôpital.

Il lui fallut attendre des heures et des heures, bien calé au fond de son confortable fauteuil à roulettes, avant de pouvoir être suturé Point de suture au front et au-dessus de la lèvre supérieure.

Il s’en reparti tant bien que mal au petit matin.

 

            Devant son miroir il dut faire connaissance avec son nouveau visage, presque méconnaissable.

Des plaies, des bosses, à priori pas de cassure malgré un nez difforme, des zébrures, du sang (mal) séché, des hématomes commençant déjà à virer au violet ; un joli Indigo pouvait être espéré dans les prochaines heures.

Vue l’étendue des dégâts et l’ampleur du désastre, il garderait certainement un bon nombre de stigmates de ce malencontreux incident.

Ainsi que de toutes nouvelles rides d’expression dignes de son âge…

 

Opium...fin de rêve

(© 2014/droits réservés)

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Ah ! Je ris de…

Posté par BernartZé le 10 janvier 2014

Au-delà de cette limite

Votre humour n’est plus valable

               

            Vive les traits d’esprit et le sens de l’autodérision !

 

     Généralement bienvenus en société, ils permettent de distraire les convives et d’alléger les digestions lorsque s’éternisent les repas.

Ils animent les conversations après qu’elles sont retombées comme des soufflés faute de nouveau sujet de médisance.

Ils donnent le ton, celui de la légèreté et d’une insouciance apparente.

Poussée à l’extrême, cette pratique devient un art difficile à maîtriser.

 

     Rose noire Plante veineuse ou fleur rare, elle empoisonne la vie de celle ou de celui qui ne peut s’en départir.

Telle une addiction, cette obligation de distraction, passée le stade de la mauvaise habitude, peut finir par relever de la pathologie la plus néfaste.

Tenter de se montrer toujours plus brillant, spirituel ou plein d’à-propos s’avère parfois nuisible à la santé, tel l’abus de toute bonne chose ; dit-on !

Par exemple, celui d’une salade blanche de légumes d’hiver Salade blanche de légumes d'hiver, à cause des gros copeaux de Fromage Gré des Champs fromage (québécois) Gré des Champs ; sujet à polémique, à débattre plus tard.

Rien de surprenant si vient le jour où l’ampoule prête à griller Ampoule prête à griller…grille et implose.

Il est trop tard pour se réveiller, le mal est déjà fait.

Après le Boum !, oh secours la pharmacie Oh secours la pharmacie ! !

 

     A l’heure des crises d’angoisse Crise d'angoisse et des bouffées délirantes Bouffées délirantes, il est bien temps de réclamer une pause.

Pouce ! please ; stop à la recrudescence des vols de sacs-à-main, des bouliers chinois et des alarmes au long cours !

Pitié pour les nervures Nervures, les nerfs, les moulures et les bas de portes rouées de coups de pied.

Une OLYMPUS DIGITAL CAMERA s’impose, ne serait-ce que pour se détendre un peu.

 

     Reprenons si possible nos esprits et le cours de ce palpitant monologue.

Le temps passe et coule Sablier ; quelle découverte !

Quel désappointement au moment de recompter les points, les années et le temps perdu à se chercher en vain.

A croire qu’il est un drôle de jeu consistant à s’égarer sans jamais se trouver.

Quelle vie !

Pour une humeur trop noire, des semaines de galère à tenter de remonter la pente.

S’en suit une lutte au corps à corps, exclusivement intestine.

Cent fois sur…le billot remettre son ouvrage, et sa tête, alouette, et ses pieds pas nickelés.

Au contraire aller vite et frôler l’excès de vitesse.

Bientôt, en cours de route, croiser un arbre Chouette un arbre pour se pendre ! et le prendre de plein fouet ; fin d’une mauvaise négociation.

Ou bien saisir son offre tentante inclinant à la pendaison ''Jardins de Vienne'' salvatrice.

Pourquoi s’interdire une proposition aussi accueillante qui permettrait de tout résoudre d’un seul coup de tête basculée ?

Une ultime réaction d’orgueil suffirait-elle à suspendre sur l’instant cette décision irrévocable ?…

 

     A Patte de chat pattes de velours, tapis dans l’ombre des cimetières, rôdent certains chats nocturnes Chats trop noirs étranges et solitaires ; vaguement inquiétants.

Des esprits mal intentionnés voudraient nous faire croire à leur pouvoir un brin maléfique, un poil suspect.

Que nenni !

Ils ne font qu’être .

Tant pis pour ceux qui s’inventent des excuses dans l’espoir de tromper leur monde ; à commencer, la plupart du temps, par eux-mêmes…

Ils auraient certainement préféré grimper dans les étoiles Pendaison nocturne... pour décrocher la lune.

S’efforcer de répondre à nos envies primaires tout en se souvenant que notre besoin de consolation est impossible à rassasier tient généralement de l’exploit.

Nul n’est censé relever ce défi ; personne ne leur en aurait voulu de baisser pavillon avant de réussir à regagner la rive.

Et pourtant…

 

     Sans fin et sans relâche des mondes à part First love last rites se distendent et se meurent.

Le sens de l’humour et de l’autodérision ne s’avèrent plus vraiment d’un grand secours.

Il est toujours méritoire de sauver la face en faisant fi des douleurs inhérentes.

L’humain est si faillible qu’il chute sans cesse avant de se relever souvent.

« Le jour n’est pas plus pur que le fond de mon cœur » ; ce vers sublime typiquement racinien Phèdre par Alexandre Cabanel (1880) au Musée Fabre ne suffit pas à traduire une douleur longtemps tue.

Tant pis pour les convenances.

 

            Quand l’heure n’est plus à rire et que plus rien (ni personne) ne semble drôle, ne reste alors que la possibilité de s’écrier :

Quelle tragi-comédie, quelle comique tragédie !…selon le point de vue et la nature -véritable- de celui ou celle qui jusque-là avait beaucoup parlé pour en fait mieux se taire…

 

Worlds apart

(© 2014/droits réservés)

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N’importe quoi !!

Posté par BernartZé le 7 janvier 2014

Fête St Auguste

Quelle chance !

               

            Seulement trois-cent-cinquante-huit jours avant de remettre ça.

 

     Pas d’année bissextile en perspective, contrairement aux apparences.

La parité arithmétique, pas plus que la venue de nouveaux Jeux Olympiques, ne suffit plus à attester de ce caractère exceptionnel.

Et ce depuis vingt ans ; sniff !

St Auguste Cette date ne trouvera donc pas place dans le calendrier de l’année qui commence à peine.

De quoi rester tout chose Tout chose avant d’envisager de faire légalement modifier son état civil ; merci grand-papa !

 

     Je ne vous aime pas, je ne vous aime pas, je ne vous aime pas Je ne vous aime pas année neuve !

Par pur lubie, caprice, habitude et inconséquence.

 

            En résumé, faute de conclusion, j’entends retentir des orgues Quel bel orgue ! dans ma caboche cahotante ; serait-ce bientôt la fin ?…

 

Françoise Hardy (La pluie sans parapluie)

(© 2014/droits réservés)

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Mouvement d’humeur (!)

Posté par BernartZé le 4 janvier 2014

Remue-méninges

Remue-méninges

           

            Et dans les grandes largeurs !

 

     Comme à chaque début d’année, de « nouvelles résolutions » peuvent parfois brutalement pointer le bout de leur nez.

Et l’envie de faire le ménage, de jeter à la corbeille Corbeille ceux qui ne feront désormais plus partie de notre vie.

En un mouvement salvateur synonyme de « Allez ouste !! » résonnant comme un coup de marteau Coup de marteau.

Se débarrasser de ceux qui sont devenus de vulgaires Encombrants à force de décevoir, de ne pas entendre et de ne jamais répondre.

Trop, c’est trop…de relations illusoires finalement inutiles.

Sans parler des individus nocifs, voire nuisibles […]

 

            Un coût de balai risqué mais nécessaire.

Il y aura des dégâts ; tant pis…

 

Coup de balai

(© 2014/droits réservés) 

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