Message personnel…vain inutile et sans intérêt (!)

Posté par BernartZé le 30 mars 2014

 Bichon...pas mignon !

Mauvais voisin

 

             Vous m’exaspérez, vous m’exaspérez !!

 

     A vous de comprendre que c’est de vous deux qu’il est question en toute inimitié…

 

            Pas (du tout) mimi le bichon.

 

  

Wouaff !! (chien énervant) Wouaff !!

(© 2014/droits réservés)

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Cycle (4)

Posté par BernartZé le 27 mars 2014

When your heart is weak 2

Le mystérieux mystère

           

            Toujours la même émotion près de trois décennies plus tard.

 

     Cock Robin En un temps immuable ils demeurent.

Est-ce une faiblesse de notre cœur que de faire cet aveu ?

En dépit des années passées des corps érodés des lassitudes et des fatigues, impossible de ne pas chanceler à chaque « nouvelle » écoute.

L’alchimie qui les a réunis puis séparés puis permis de se retrouver est impossible à définir.

Sans doute faudra-t-il nous contenter d’une formule simple (en forme de plagiat) « parce que c’était elle Anna LaCazio, parce que c’était lui Peter Kingsbery ».

 

     Elle, sauvageonne tournoyante bondissante et courant dans sa jupe à pois, lui semblant pris de convulsions, de maux d’estomac ou d’une envie naturelle (!) sur pieds, le tout dans un décor aride du désert mexicain (?)

Le reste n’est que légende ou pas, suivant les goûts (musicaux) de chacun.

On peut rester indifférent ou s’émouvoir à grands frais de mouchoirs ; bête nostalgie d’une lointaine jeunesse ou reconnaissance humaine chez autrui d’une part de soi ?

Qui saura jamais dire l’influence des (vrais) artistes sur nos petites vies quotidiennes ?

 

     Cock Robin (2) Des traces incidemment disséminées finalement incrustées au point de marquer nos mémoires.

Surgies le plus souvent par inadvertance, c’est par mégarde que des chansons et des musiques nous auront abîmés en nous faisant du bien sans que leurs auteurs ne puissent jamais deviner entièrement l’importance de leurs œuvres dans nos existences ; heureusement pour eux tant leur tribut serait lourd à assumer !

 

     Aujourd’hui  Bien des années plus tard, peut-être adossés aux rochers d’autrefois, ils sont et demeurent à jamais émouvants.

 

            Souviens-toi de ta promesse

 

When your heart is weak - Cock Robin, 1985

(© 2014/droits réservés)

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A bout de souffle ?

Posté par BernartZé le 24 mars 2014

              Sur les ailes de la danse       

Programme minimum

 

 

            Petits peu, petits pas.

 

     Loin, très loin de pouvoir voler sur les ailes de la danse, quand l’heure est à la peine.

No Swing time.

Plus rien ne flotte, tant les semelles paraissent clouées au sol entre deux trébuchements.

Toute une suite de faux pas pour une vie bégayée.

Pas de quoi faire pleurer dans les chaumières ; surtout pas !

Aucune commune mesure entre une « attraction terrestre » désastreuse et une maladie incurable appelant régulièrement à une levée nationale de fonds.

 

Qu’on ne se méprenne point sur les intentions du doléant, du lamentin -pas le Lamantin tout penaud tout penaud-, ou du jérémiant qui ne cesse de pleurnicher sans se moucher !

L’insupportable geignard, le plaignant, ne réclame strictement rien d’autre que d’être enfin reconnu…sans (plus) jamais rêver d’être un jour entendu ou écouté.

 

     D’attractions désastreuses Des attractions désastre en voyages immobiles Un voyage immobile et...perché ! ne lui reste plus que l’inappétence à vivre.

Griffes rognées, crocs élimés ; comment deviner une vie au-delà du mur ?

 

     De quoi restons-nous à jamais le plus inconsolables ?

De ce que nous n’avons pas vécu ou de ce qui n’est (tout simplement) plus ?

 

             The last dance... Pour une dernière danse…

  

 

Danielle Darrieux  Hommage empreint de légèreté pour ses prochains ’ sept ans aux premiers muguets (officiels)

(© 2014/droits réservés)

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Coup de tête

Posté par BernartZé le 21 mars 2014

Sglups !

Sglups !

           

            Non mais c’est quoi ce tapis de chats Tapis de chats ?

 

     Ça ne ressemble à rien de félin.

Quelle mise en scène ridicule d’un tas de poils bien ordonnancés par une main humaine folle de félidés !

Ne comptez pas sur moi pour dire amen à ce genre de comportement sauvage et d’un goût fort discutable.

 

     Jumelles de théâtre Depuis le temps que je scrute à la loupe la vie des humains, leurs travers et leurs pratiques théâtrales, j’ai eu l’occasion d’observer Attentif attentivement leurs manies autant que leurs délires obsessionnels dès qu’il est question de leur amour envers les animaux dits domestiques.

Ils se croient sentimentalement légitimes, autorisés à faire n’importe quoi sous prétexte de s’occuper de nous.

Que nenni !

 

     Et de nous habiller de façon grotesque ; parfois de nous brosser et de nous coiffer pour nous emmener au fin fond de la France afin de (nous faire) concourir dans un défilé de bêtes lustrées pour leur seule vanité.

Ils en reviennent avec des médailles, des trophées Trophée et la certitude d’avoir fait pour le mieux, pour notre bien et notre bonheur évidemment.

Outre le déplaisir de devoir parader de long en large sur un podium, après huit heures de route, un brushing intensif et des recommandations en forme de directives, où peut bien se nicher notre plaisir dans cette foire agricole ?

Jamais nous ne reconnaîtrons ce pouvoir inhumain !

 

     Oh ! la jolie famille C’est pourquoi nous autres félins de tous poils et tous âges, réclamons sans tarder une charte de bonne conduite et de bienséance.

Dans un souci de respect mutuel, il s’avère temps d’endiguer les délires extrêmes des Humains.

Sous prétexte d’une mode et d’une tendance qu’ils ont voulu pousser toujours plus avant depuis des années pour se refaire une santé, ils ont décidé, sans nous consulter, de nous mettre à la nourriture bio Croquettes bio pour chats.

Je ne vous parle même pas des produits light pour animaux ni de ceux qui font appel à des taxidermistes pour nous conserver ad vitam æternam à leurs côtés !

 

            A toutes fins utiles, attentif à maintenir la paix dans les ménages mixtes, il est de mon devoir de chat de rappeler que nous n’aspirons qu’au calme, à la tendresse et à la volupté ; jamais au luxe [...]

  

  

Pupille en fente Je veille…

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Pseudo existentiel…

Posté par BernartZé le 18 mars 2014

Trois pieds pour trois chaussures...!

A côté de ses pompes !

 

            Trois pieds pour trois chaussures…

 

     Pour être bien dans ses bottes vaut-il mieux savoir marcher droit, se lâcher les baskets ou cesser de se prendre perpétuellement la tête ?

 

     Tout en n’oubliant pas de garder sous le coude l’option ultime « prendre ses jambes à son cou », il y a de quoi rester songeur lorsque la symbolique des gants de pieds est évoquée.

Quelle que soit la pointure de la femme ou de l’homme, ces phrases toute faites semblent toujours lourdes de sens.

Elles ne lui indiquent malheureusement jamais la marche à suivre pour trouver son chemin ici-bas alors que c’est pourtant la réponse la plus attendue et indispensable, pour ne pas dire vitale, que chacun espère un jour avoir.

La question reste longtemps en suspens sans le moindre écho, souvent tout le long d’une vie.

 

     Derviche tourneur trop enflammé Emportés par la ronde qui nous mène nous entraîne et nous fait virevolter, nous dansons sans relâche entre la vie qui nous a été donnée (charmant cadeau !) et les pulsions de mort qui nous guettent sans cesse.

Les plus sûrs trouvent rapidement leur voie, tandis que d’autres peinent un peu plus au point de mériter -pour les plus endurants- un diplôme de « chercheur tous terrains » !

Cela relève-t-il de l’entêtement de la persévérance ou de la bêtise ?

Si nous pouvions savoir dès la naissance combien vaines seraient nos vies, nous abstiendrons-nous de poursuivre cette quête ?…

 

     The hours Vulnerant omnes ultima necat.

Une vie plus tard, toujours sans réponses, l’heure ne serait-elle pas bienv(en)ue d’apprendre à se retirer sur la pointe de ses p’tits pieds nus ?

En cet instant grave et solennel (!) nous sommes tous invalides, porteurs de pied-bot, faute d’avoir appris à mourir.

Une faille considérable dans l’éducation du petit d’Homme Petit d'Homme  Bepanthen, de ce côté-ci du vaste monde tout du moins.

Quelle présomption de se penser immortels et de découvrir, souvent trop tard, que notre fin arrive !

Le temps de se sentir mourir et l’on est déjà mort Bossuet (clin d’œil).

 

            Les pompes étaient funèbres, il suffisait de le dire.

Un pied ou une chaussure de secours n’aurait rien pu changer…

 

 

 

 

Marcher à côté de ses pompes Walking in my shoes - Depeche Mode 2 

(© 2014/droits réservés)

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Du poil à gratter…

Posté par BernartZé le 15 mars 2014

L'Institut de France

Am stram…gratte !

            

            Les constructions grammaticales n’en finissent plus de déchanter et de changer inopinément selon le temps et l’air, perpétrant mine de rien une nouvelle (?!) mode qui consiste à faire fi de toutes les règles de base à l’origine de notre langage.

 

     Il est sain et bénéfique qu’une langue puisse évoluer, s’ouvrir et s’enrichir au fil des années ; mais tout de même pas au point de pondre régulièrement des incongruités !

A force d’être reprises et (bêtement) répétées, elles semblent prendre une tournure officielle, comme validées par nos 40 immortels Habit et épée d'Académicien Français !

 

     Et pourtant nom de NON !

On ne dit pas « Ce que je rêve c’est d’aller sur la lune ».

NIET ! Pas beau, tout moche, pas correct, pas Français !!

Seule possibilité : « Ce que je rêve de…» + verbe à l’infinitif ; ce qui laisse entrevoir des possibilités sans fin.

Même de brillants journalistes s’emmêlent

 

            Souvenons-nous du jour lointain où à l’école primaire nous avons tous appris que ce à quoi nous rêvions petits enfants ne correspondrait peut-être plus du tout à ce dont nous rêverions adultes.

  

 

Logo Grand Soir 3 Louis Laforge (Grand Soir 3)

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Interlude

Posté par BernartZé le 12 mars 2014

 

 

Kalesthupa filashtivi

Kalesthupa filashtivi

            

            Ces deux mots sonnants comme de l’hindi n’étaient pas non plus de l’ourdou.

Ils dissimulaient en fait un nom de code.

 

     Cette histoire remontant au siècle dernier, certaines imprécisions risquent bien d’entacher ce bref récit relatant un épisode méconnu de la guerre froide.

Dans les années 80’s on en était encore (déjà ?) à l’heure de la lutte entre la chapka Chapka et le chapeau de l’Oncle Sam Chapeau de l'Oncle Sam, entre, d’un côté le symbole entrecroisé de La faucille et le marteau et de l’autre, la toute puissance de Enclume et du A chrome-plated Dollar symbol isolated on a white background (3D rendering) ; ces illustrations s’avérant sans doute nécessaires pour les plus jeunes à peine nés avant ce XXIème siècle.

 

     En l’an 1980 le monde n’était pas spécialement plein de grâce mais plutôt en émoi à l’heure de se décider : ira / ira pas ??

Suite à une invasion incongrue sur territoire étranger, un certain nombre de nations se prirent le chou, et la tête alouette, en un vaste remue-méninges.

J.O. Moscou 1980 Irons-nous tous jusqu’à Moscou ?…

 

     De rageuses discussions entretinrent le suspense jusqu’aux premiers feux de l’été ; entre les athlètes et les politiques la « guerre » fut ardue, éprouvante et particulièrement pénible…pour tout le monde.

Tapis dans l’ombre des espions (parfois) imaginaires agirent dans le but de déjouer les plans ennemis, poussant l’intrigue comme dans les films noirs ; un grand classique du 7ème Art que l’âge d’or hollywoodien avait su marquer à jamais !

Louis Pergaud Un visage innocent et romantique fit son apparition dans ce grand échiquier.

Evidemment sans nom, il œuvra dans l’ombre de fin décembre 1979 à l’avant-veille de l’ouverture des Jeux, alors que les corbeaux Corbeau sur une branche, Maruyama Ôkyo (1733-1795) croassaient encore, à distance raisonnable et que Jane L. fêtait sobrement son vingtième anniversaire avec trois jours de retard (le temps de se remettre de son coma éthylique !).

L’anonymus n’eut pas le temps de faire son coming out d’espion qu’il fut poussé hors de scène ; désormais obsolète.

Finis les déguisements, les cachettes, les recèles de secrets et les escamotages en tous genres.

Nom d’un code périmé !

 

     Quelle fut la mission de ce chevalier d’Éon et pourquoi une dénomination aussi alambiquée ?

Aucun doute concernant son genre masculin.

Quant à l’explication relative à une attribution si secrète que nulle trace n’en demeure aujourd’hui, mystère et boule de gomme !

Aucune trace ? Pas tout à fait.

Plus de trois décennies plus tard et après de longues recherches opiniâtres, il a été possible de retrouver le témoignage écrit de Teyssac de Gervy, un diplomate franc-comtois de lointaine origine ukrainienne qui avait été mêlé au cours de l’été à cette étrange affaire.

Faut-il pour autant le croire sur parole tant peuvent décevoir ses commentaires et son interprétation des faits ? ; pas de quoi publier un best-seller !

 

     Selon lui l’anonymus n’avait été qu’un homme de paille chargé, sans même en être entièrement informé, de faire capoter les négociations entre les deux blocs en semant le trouble et la confusion entre l’Est et l’Ouest.

Et c’est sciemment que « Kalesthupa filashtivi » avait été choisi pour rendre plus mystérieux…le mystère d’une activité faussement clandestine à laquelle nul ne devait rien comprendre.

Evidemment !

 

            L’Histoire n’a retenu qu’un triste boycott plus déploré par les athlètes que par le pays d’accueil.

Bien sûr il y eut des exploits et des médailles, des cris de joie des pleurs des cérémonies et des hymnes à la gloire des vainqueurs.

 

     Oubliés « l’homme de paille » et le « nom de code » bidon ; mais de ces instants d’Union que reste-t-il ?

De l’amertume peut-être…

 

 

Olympic Flag 

(© 2014/droits réservés)

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Cycle (3)

Posté par BernartZé le 6 mars 2014

Hôtel du Nord (bar)

Un soir, un train nuitamment

           

            Un bar, la même nuit…

 

     Une rencontre accidentelle entre Barcelone et Paris, un regard, deux regards croisés.

Des interrogations, des doutes, des attentes, des espoirs.

Une invite, une fulgurance Fulgurance et une irradiation Irradiation.

Des bris de boisson et des heures plus tard, des mots oubliés et nulle promesse.

Pas d’avenir.

 

            Une autre fulgurance, un autre souvenir ; un passé inoubliable et douloureux.

Nerens, Nerens

 

  

 Vieux RennesMadrid Madrid

(© 2014/droits réservés)

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Mouvement d’humeur…très mauvaise !

Posté par BernartZé le 6 mars 2014

L'arme à l'œil (!)

L’arme de destruction massive

            

            De quoi pleurer à l’heure où risquent bien de disparaître les derniers neurones du genre humain !

 

     Adieu à un être né doué d’une intelligence certaine bien que relative et variable selon les cas ; nul n’est responsable de son patrimoine génétique.

Par contre, chacun est -plus ou moins- censé réfléchir avant d’agir histoire de faire preuve d’un peu de cohérence, par respect pour les autres comme pour soi-même.

Cela n’exclut en rien le plaisir de faire n’importe quoi juste pour s’amuser.

A condition que ce soit drôle, à défaut d’être utile ou intelligent.

 

     Le « sense of humor » est heureusement différent selon les pays, les cultures, les siècles, voire les individus ; pas de règle véritable, que des exceptions et c’est généralement ce qui nous enrichit.

 

     Mais quand court « la mode », tel un virus interplanétaire, de faire comme le voisin en pire -sous prétexte du mieux- si possible, plus rien n’est sous contrôle et les digues sont rompues.

Et c’est ainsi que des records sont battus, jour après jour.

Et c’est ainsi que des artistes estimables, talentueux (pour la plupart), certains même cultivés, en viennent à se laisser piéger dans un moment d’égarement, d’inconscience ou de fatigue.

Pour faire le bzzzzz de l’Abeille  paraît-il (?) ; de quoi coller le bourdon au moins dépressif d’entre tous !!

 

            Est-il permis de trouver ça navrant et bête à mourir ?!

Des millions d’êtres humains mécanisés (décérébrés ?) à travers la planète qui pianotent fébrilement simplement pour envoyer à leur (vaste) réseau social une photo d’un intérêt à abattre d’un seul coup de H comme... assassine les portes et le Studio Studio Harcourt tout entier ; retentissant de bêtise inhumaine !!

Sniff…

 

  

Smartphone Galaxy Nexus

(© 2014/droits réservés)

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La vraie vie (!)

Posté par BernartZé le 3 mars 2014

Jumelles rutilantes barrées

Mon voisin de palier…

(qui n’est toujours pas mort)

           

            …est toujours bien en vie.

     Nul besoin de jumelles dans le théâtre de nos vies distantes et parallèles pour l’entendre rentrer de sa promenade d’une minute et ½, le temps de permettre à son chien (aboyant) de se soulager ; à 23h59 comme à 6h32 la cérémonie semble être la même.

 

     Sans doute est-ce le propre des voisins d’être énervants (horripilants parfois) ; mais pas tous les jours et à de multiples reprises !

Dissipons tout possible malentendu : aucune fenêtre, aucun vis-à-vis entre nous, bien heureusement !

Pas d’espionnite aiguë (par manque d’intérêt avant tout !) d’une part ou de l’autre, mais des atomes fort peu crochus qui flottent en permanence dans un air vicié depuis de longues années.

 

     Difficile d’expliquer ce que l’on conçoit à peine.

Toujours est-il que…c’est comme ça !

Ainsi va la vie : quand on n’aime pas Un franc ''désamour''…on ne compte pas davantage.

 

     L’indifférence la plus neutre constituerait le meilleur des statu quo.

Cette éventualité ne paraît pas à l’ordre d’un jour prochain ; l’envisager relèverait du domaine de l’extravagance ou de la plus pure divagation.

L’un est suffisamment mal éduqué pour généralement ne pas répondre au « bonjour » (juste poli) de l’autre…inarticulé et le regard dans le vague, ce qui, de la part d’un myope, n’a rien de vraiment étonnant.

Des corps se frôlent à distance mesurée…

A chaque croisement de chemins, la température ambiante chute brutalement !

 

     Dans un souci de tendre vers la « paix des âmes », plus précisément celle des voisins Paix, et de normaliser le quotidien, serait-il possible de revenir en arrière afin de se souvenir de l’origine d’une animosité jamais officiellement avouée ni totalement exprimée, encore moins verbalisée ?

Et de creuser Pelle dans le passé mémoriel commun (si peu) à la recherche du premier instant de désaccord ou de la première anicroche.

Comment s’installa ce climat peu propice à la zénitude Zénitude, et cette atmosphère Arletty franchement désagréable (doux euphémisme) ?

Tâche ardue autant que malaisée pour quiconque voudrait répondre, alors qu’il serait tellement plus simple d’oublier.

Le début du commencement de serait-il dû à un tapage nocturne, à des infiltrations aqueuses et parallèles, à un ascenseur non renvoyé, à un chien ou un chat furieusement échappé sur le palier, à un paillasson déplacé d’un coup de pied négligent ou rageur ?…

Ou peut-être, non tout de même pas (!), à une jalousie Pet Shop Boys - Jealousy (1991) née de la découverte d’une liaison dangereuse Une liaison dangereuse immiscée entre voisins ?!

 

     Nom d’une bobine à corde tressée Bobine à corde tressée, tout le monde s’en moque complètement aujourd’hui et dans les grandes largeurs !!

Pas plus que de vieillir nous ne tournerons jamais ensemble Bobine, même pas dans le plus mauvais film !

 

            L’un de nous aura bientôt fini de déménager

  

 

 Déménagement

(© 2014/droits réservés)

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