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Mouvement d’humeur (!)

Posté par BernartZé le 31 octobre 2014

Sglups !!

On n’arrête pas le progrès !

  

            Le temps passe, le monde évolue, la technologie aussi ; il faut s’adapter.

 

     Généralement le progrès technologique est synonyme de meilleures performances, d’avancées techniques, de simplification et de nouvelles prouesses à donner le tournis.

Le tournis est assuré de nous monter à la tête quand les prouesses et les performances laissent dubitatifs ; quant à la simplification… !?

 

     Une préférence entre ces deux objets Livebox Orange / Livebox 2 ? ; quelles différences voyez-vous (autre que la bougie parfum vanille Bourbon cachée derrière ; celle-ci Bougie vanille épicée est nettement plus jolie !) ?

Mais oui mais c’est bien sûr ! Voilà que l’on est passé de l’ère du « livre » délicatement posé sur la tranche au boîtier, compact certes, mais ressemblant à n’en plus douter à…une boîte vivante ; la bien-nommée !

Qu’importe si elle ne prend pas plus de place et qu’elle enchaîne les exploits comme d’autres les catastrophes.

 

     Mais voilà que soudain, en plein XXIème siècle, un câble Ethernet (un vieux truc comme ça Câble Ethernet) fait sa réapparition pour nous prendre les pieds entre le tapis et la moquette !

Tout cela pour une connexion Wifi Wifi on officiellement opérationnelle et parfaitement installée qui s’avère incapable de faire son travail !

 

            De quoi s’arracher les cheveux, maudire tous les dieux et se casser la figure entre un décodeur et une boîte en plastique à envoyer d’urgence Urgences en Logo réanimation

 

 

Enchevêtrement de câbles 

(© 2014/droits réservés)

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Des pressions ultimes…

Posté par BernartZé le 28 octobre 2014

Volcan

Dépression au-dessus du…volcan

  

            J’ai plus envie de rien ; j’ai plus envie du tout.

Plus envie de me battre ; plus envie de lutter.

Plus même envie d’y croire, plus la force d’espérer.

 

     Je ne suis plus qu’une pauvre âme Jane B. (inv.) versant vers son destin qui est proche de couler.

J’ai l’impression que c’est la fin ; Je ris comme je pleure Jane Birkin.

Je pleure sur ma bonne Etoile morte depuis si longtemps que je doute parfois qu’elle ait jamais existé.

Et quand bien même elle aurait été, moi je ne suis jamais née.

 

     Rupture au miroir Femme au miroir (Pablo Picasso, 1932) n&b d’une femme en colère portant la haine au front qu’elle retient de justesse d’envoyer s’écraser.

Voleur de temps Voleur, le temps m’a gâché la vie et j’ai perdu mon temps à m’acharner contre moi-même.

J’ai perdu plus que l’enjeu d’une vie ; j’ai tout piétiné Youpla boum ! comme une folle, tout détruit en hurlant Youpi.

Je n’ai pas joui de mon malheur ; la plupart du temps mélancolique Mélancolie dépressive j’étais dépressive au troisième sous-sol !

Et quand l’heure ne fut plus de jouer les jeunes filles perdues, j’ai continué bien malgré moi, en toute indécence.

 

     Dépression au-dessus de mon jardin d’épines Epines et roses noires ; c’est le volcan qui gronde à moins qu’il ne s’agisse seulement du chat Chat qui gronde de la voisine.

Quand la lave débordera Jet de lave

Je deviens folle Folle ou bien Ɂ ou bien est-ce l’insupportable douleur ?

 

            Tiens pour ta tombe Roses noires !

  

 

Volcan 2  Versions Jane 

(© 2014/droits réservés)

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It’s beyond my control

Posté par BernartZé le 25 octobre 2014

A passage to India

Plus fort que moi

  

            A chaque fois que l’occasion m’est offerte de revoir l’adaptation cinématographique de ce livre, je ne peux m’empêcher de jeter un œil puis deux, de zapper, de partir ailleurs puis d’y revenir…tout en me rappelant que je le connais presque par cœur et qu’il est inutile de le revoir pour la cent cinquantième fois.

 

     Mais bon voilà c’est comme ça.

De même que pour les mystères de l’Inde Les mystères de l'Inde mieux vaut ne pas trop chercher à comprendre…

C’est ainsi que je suis récemment reparti pour un tour La Route des Indes (David Lean, 1984) !

 

     Et de refranchir la Porte Gateway of India, Bombay pour retrouver le chemin d’une histoire emblématique, celle d’un choc entre deux civilisations quelques années avant un tournant inexorable.

L'arrivée en bateau Deux Anglaises débarquant d’un bateau pour découvrir un pays et célébrer un mariage…qui ne se fera finalement pas ; fin du suspense…qui n’est pas franchement l’enjeu de cette histoire.

Évidemment l’intérêt est ailleurs, puisqu’il est essentiellement question de cultures et de territoires, de rencontres, d’envies de découvrir et d’une effroyable méprise ; de sentiments confus aussi.

Un jeune et sympathique docteur indien Victor Banerjee (A Passage to India, 1984), une jeune femme anglaise Judy Davis (La Route des Indes, 1984) un peu nerveuse avant de se marier dans un pays inconnu et une Dame britannique Une Dame compréhensive aussi compréhensive que curieuse d’apprendre ; et d’autres…

Respectant la tradition, on boit du thé Tea time at tea time et l’on fait connaissance, parlant apparemment de tout et de presque rien.

En barbotant dans une eau régénératrice Avant l'incident l’idée d’une expédition vient à germer.

[Mention spéciale à Sir Alec Guinness Alec Guinness dans La Route des Indes]

Et de partir à l’aventure…

 

     Encore le temps de l’insouciance et de la gaieté à l’heure de prendre le train Les débuts de l'expédition comme à celle du pique-nique Le pique-nique avant d’escalader la roche à dos d’éléphant A dos d'éléphant.

Longue grimpette La montée vers les grottes et longue procession de porteurs à pieds tout dévoués Grimpée.

Encore un peu de courage et de marche pentue Montée vers les Grottes de Barabar et enfin l’entrée d’une des mystérieuses grottes de Barabar  Grottes de Barabar; le but ultime de toute cette grande expédition !

 

     Et soudain deux mondes ont entièrement basculé Entrée de la grotte.

Mystère et boule de gomme, méprise et incompréhension ont mis à mal l’atmosphère chaleureuse de la rencontre initiale ; irréversibilité d’un geste commis ou pas…

Sur l’air de la calomnie (non vous n’entendrez pas Rossini ici et maintenant), la justice s’est vite emparée d’un homme La calomnie sans plus d’égards pour son honneur que pour son intégrité ; et la foule en colère s’est immédiatement déchaînée La foule oppressante, peut-être à juste titre.

 

     Malgré la délivrance La délivrance et le verdict l’innocentant à l’issue d’un procès chaotique, une noble âme  Une noble âme humiliéeen est ressortie humiliée bien que lavée de tous soupçons.

 

            Bien des années plus tard -bien trop tard- vinrent le temps des regrets Bien des années plus (trop) tard et des adieux Adieux... impossibles.

La morale de l’histoire ?

Non mais…quelqu’un vous aurait-il fait croire que vous vous trouviez dans une fable de La Fontaine ?!

A vous de tirer les enseignements d’un livre (et d’un film) à la portée universelle…

Et pas le moindre Taj Mahal en vue ; étonnant non ?

[quelques années plus tard j’étais en Inde…]

 

  

Route des Indes - E.M. Forster (1924)  David Lean

(© 2014/droits réservés)

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Hommage…

Posté par BernartZé le 22 octobre 2014

Jeu de dames

Le pouvoir hypnotique des Drôles de dames

 

            Générique Drôles de dames « Il était une fois trois filles superbes qui avaient décidé de s’engager dans la police. Mais on les avait cantonnées dans des travaux bien peu passionnants. Alors moi, Charlie, je les ai sorties de ce cauchemar pour les engager. Et je ne le regrette pas, car ce sont vraiment de Drôles de dames (dessin) ».

 

     Cela remonte aux années 70’S, en un temps que les moins de (…) ; ils n’en auraient -pour la plupart- pas envie.

Soudainement déboulèrent sur notre petit écran Générique ''Drôles de dames'' ; plein les yeux !

La télévision de Sa Gracieuse Majesté avait montré la voie au tout début des années 60’S (du temps du noir et blanc, pensez donc !) avec Sticker ''The Avengers'' qui nous avaient vite fait comprendre que l’époque des « femmes à la popote » rangées en double file à côté des casseroles au fond de leur cuisine était largement dépassé.

Une dizaine d’années plus tard quelques lecteurs avisés de Charles Exbrayat Porridge et polenta - Charles Exbrayat (1973) purent découvrir que des demoiselles (britanniques, again !) savaient parfaitement en cas de besoin gesticuler en tous sens afin de porter secours à des jeunes filles en danger.

Au fil de la lecture il y avait de quoi écarquiller les yeux en redoublant d’étonnement et d’admiration devant la hardiesse de ces dignes sujets typiquement britishs.

 

     La télévision américaine, sans doute moins subtile, sut se montrer inventive et diablement efficace en s’inspirant de recettes éprouvées sur le grand écran hollywoodien : du glamour, du glamour…quitte à en faire légèrement trop.

Trop de sourires éclatants Tout sourire(s) trop de cheveux Des cheveux, des cheveux en cascades ! et parfois un peu trop de strass et de maquillage Version glamour hollywoodien (hors séances de combat).

Le mâle américain tomba à pieds joints dans le piège ; il ne demandait que cela !

L’Europe suivit le mouvement sans se faire prier.

Il était effectivement impossible de résister au charme intrépide et à l’énergie inépuisable de ces Drôles de dames Drôles de dames.

Peu importaient (parfois ?) le scénario, les dialogues, les sourires (factices, vous avez dit factices ?) forcés ou le jeu approximatif de certaines de ces dames…au tout début de la série (bien sûr !).

Qui n’a pas fondu, qui ne se souvient pas encore de ce retourné de mèche Ce retourné de mèche ! après mise à terre de l’adversaire (k.o. évidemment).

 

            C’est bien beau tout ça mais, après cette petite séance d’hypnose, certains pourraient hâtivement croire à un message sexiste à tendance misogyne.

Que nenni !

Ce n’était qu’un hommage, l’expression maladroite d’un souvenir ému, une tentative pathétique de remonter le temps Remonter le temps

 

  

Trois anges 

(© 2014/droits réservés)

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“Souvenirs, souvenirs”…!

Posté par BernartZé le 19 octobre 2014

Quand j'étais petit garçon

 

            …Je ne repassais pas mes leçons en chantant.

 

     Ni fer à repasser Fer à repasser ni fer à friser Fer à Friser Professionnel ne faisaient partie de mon quotidien !

J’apprenais simplement mes leçons, portais rarement des chemises et mes cheveux faisaient ce qu’ils voulaient malgré tous mes efforts pour les dompter.

Ciel gris et idées noires Mes idées noires comme les ciels gris ne sont jamais passés en chantant à tue-tête ; c’est bête cette idée reçue !

 

     Retomber en enfance, retourner à l’école http://www.dreamstime.com/royalty-free-stock-photo-school-supplies-clip-art-4-image2925865 et franchir à nouveau la grille Grille de l'école.

Marcher sur les pas d’hier en chaussure Chaussures Méphisto Abrizio(s) de ville -bien cirées !- d’adulte et se souvenir en se retenant de pleurer sur soi-même comme un gamin.

Comme ce temps-là était beau…par tous les temps, même lorsqu’il fallait pédaler sur son petit Vélo d'enfant à toute vapeur, en suant sous son K-way K-way, dans l’espoir de passer entre les gouttes.

La récompense était après la ligne d’arrivée une fois assis dans la classe, non loin du poêle Salle de classe chauffée au poêle où il faisait bien chaud au milieu des camarades.

 

     Par la suite la vie a pu se révéler moins marrante, et nettement plus désespérante, même en chantant.

 

            Quoi qu’il en soit, n’en déplaise à certain(s) et au dictionnaire d’une étrange largesse d’esprit en cette occurrence : nom d’un fer à vapeur, je n’aurais jamais admis de « repasser » mes leçons d’écolier (studieux, évidemment) comme on se repasse une fausse pièce de monnaie !

Trop moche, d’un Français trop laxiste et pas beau du tout ; Interjection

 

En chantant - Michel Sardou (1978) 

(© 2014/droits réservés)

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Expérience « historique » !

Posté par BernartZé le 16 octobre 2014

CoussinsOreillersCoussins 1

Dormir assis…

  

            Dormir à moitié assis était paraît-il une pratique assez répandue au Moyen-âge Au Moyen-âge pour ne pas se trouver « dans la position du mort ».

Vérité ou légende ? Fait réel (écrits à l’appui…les smartphones n’existant pas) ou pure invention ?

Au point que certains n’hésitent pas à prétendre que cette histoire de dormir assis est en fait une histoire à dormir debout.

Plutôt que d’épiloguer sur un fait impossible à établir faute de preuves, faites le test vous-même !

 

     Choisissez un mur (plus ou moins) blanc Mur blanc ou entre gris clair et gris foncé struktur à l’image de vos humeurs ; collez tout contre un matelas bien épais.

Inutile de le parer puisque vous dormirez dessus ; il serait bien trop simple d’envisager une station assise dans votre lit habituel !

En revanche prévoyez robe de chambre Robe de chambre polaire ou bien Robe de chambre femme (mais peu importe en fait), plaid Plaid et cache-nez Cache-nez (voire un bonnet Bonnet de nuit !) et une bonne couverture -en pure laine- Couverture laine woolmark de secours pour ne pas attraper bêtement froid.

Pour les plus frileux : en plus une Echarpe en mode étranglement !

Pensez également à rameuter une ribambelle de coussins Ribambelle de coussins pour soulager votre dos qui risquera bien de pâtir de ce genre d’expérience que certains n’hésiteraient pas à qualifier de stupide.

Et pour le lendemain, histoire de ne pas devoir courir à quatre pattes jusqu’à la pharmacie la plus proche, munissez vous d’une armée d’anti-inflammatoires  Gélules Nifluril.

A présent dormez c’est un ordre !

 

     Quelques heures plus tard…

La nuit fut-elle bonne et les rêves dorés ? Ou bien ?

Ah bon, des coupures de sommeil réitérées, des interruptions et des changements répétés de position pour cause d’inconfort ?

C’est étonnant !

Vous êtes-vous reposés au moins ?

Ah…les jambes ? ; ben oui pas terrible pour la relaxation physique et le délassement indispensable en vue de repartir du bon pied le lendemain.

Si ça se trouve il vous a juste manqué un appuie-tête Oreiller de voyage gonflable pour passer une très bonne nuit !

Les chats sont plus faciles à contenter : Coussin oreiller pour chat 2 ou Coussin oreiller pour chat 1.

 

           Ronflement Dormez tranquille et ne commettez pas l’erreur de renouveler inutilement cette fâcheuse expérience préjudiciable à la santé physique et morale ; personne ne saura jamais avec certitude si nos ancêtres vivaient effectivement dans des huttes et se reposaient la nuit à moitié assis ; ne pas le savoir ne devrait pas vous empêcher de…sur vos deux oreilles !

 

 

Ronflements  Bonne nuit les grands et petits…

(© 2014/droits réservés)

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(Déjà) De circonstance…

Posté par BernartZé le 13 octobre 2014

Noël

Autant (bien) se préparer

 

 

            Les journées raccourcissent de plus belle, le froid revient s’immiscer dans nos vies, les intempéries mettent à mal certaines régions et rien ne sert de se le cacher, cela ne va pas s’arranger.

 

     Il va de plus en plus pleuvoir et faire froid ; la neige sans doute bientôt pour certains départements et comme d’habitude la pagaille dans les gares…

Que de sympathiques réjouissances en perspective !

Alors puisque la fin de l’année arrive déjà à grands pas, qu’à l’approche de la Toussaint fleurissent déjà les premières boîtes, autant vous remonter le moral, s’il défaille, en commençant à faire vos courses pour les fêtes.

Partez donc…en repérages de chocolats.

 

     S’il est un peu tôt pour choisir votre sapin de Noël en épines véritables, celui-ci sera peut-être à votre goût Sapin en chocolat ou bien ces versions Sapin en chocolat design plus design ?

Aux ballotins d’ores et déjà présents dans les moyennes et grandes surfaces, viendront d’ici la fin du mois s’ajouter les véritables boites de chocolats dans les rayonnages et il faudra faire place !

En avant goût(s) de quoi vous faire saliver devant ces belles promesses de réconfort : 04freycho Chocolats 3 Chocolats plus ou moins bien rangés en longueur largeur ou diagonale ; de quoi vous inspirer en vous redonnant l’envie de vivre.

Si vous éprouverez sans doute quelques difficultés à trouver des chocolats dont la distribution est plus confidentielle La Maison du chocolat, vous pourrez -comme chaque année- compter sur une maison à la réputation établie Maître chocolatier suisse (Lindt & Sprüngli).

Et pour une qualité supérieure aux sempiternels chocolats baptisés du nom de la plus grande avenue de la capitale, rien ne vous empêchera de lorgner du côté des importations provenant directement de Switzerland ou d’envisager sérieusement un petit voyage hivernal juste de l’autre côté de la frontière pour choisir vous-même ce que vous aurez plaisir à déguster au retour (si possible pas dans le train ou la voiture vous ramenant au bercail !), Lindt Connaisseurs Pralinés ou Lindt Pralinés Royal par exemple.

Impossible de vous promettre cependant que le meilleur ambassadeur de la marque vous accueillera lui-même, trop occupé à s’entraîner…à jongler du bout de la raquette Il sait tout faire ! !

Ou bien à faire ses propres réserves pour Noël Autant faire soi-même ses courses en vue de combler toute sa petite famille.

Et si vous n’aimez pas l’inventeur de cette maxi boule fondante Maxi boule Lindor lait (un kg !), vous pourrez passer dire bonjour à son principal concurrent et compatriote et ramener chez vous ces recettes Black Magic by Nestlé difficilement trouvables en France.

 

            Si vous n’aimez pas du tout le chocolat, vous saurez certainement tirer partie de votre périple en revenant avec une grande meule de gruyère Meule de gruyère suisse que vous pourrez tranquillement déguster jusqu’à Noël et plus…

 

 

''Nouvelle'' tablette !  Raquette tennis en chocolat au lait 

(© 2014/droits réservés)

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Coup de blues (en vue)

Posté par BernartZé le 10 octobre 2014

Chaufferette à accumulation Black-Line

Ça me déprime !!

  

            Une bouillotte et au lit !

 

     Et c’est reparti pour un tour de…froid ; un long tour, tout un hiver et plus si prolongations climatiques.

L’été qui -comme d’habitude- n’a pas été est déjà loin et oublié ; le temps est venu de s’emmitoufler et de ressortir écharpes de deuil Echarpe noire bonnets doudounes et paires de gants et de prendre garde de ne pas s’enrhumer bêtement…au fond de son lit !

Ce sont des accidents de la vie domestique qui se produisent bien plus souvent qu’on l’imagine.

Aglagla ! entre les draps et c’est une cascade d’atchoums assurée ; de quoi endosser le rôle Atchoum à la perfection.

 

     Pour éviter ce fâcheux aléa deux solutions : se (s’en-) terrer pendant huit mois ou alors bien s’entourer, le plus chaudement possible.

Inutile de construire un blockhaus, une simple ronde de radiateurs, chauffages d’appoint et convecteurs en tous genres est la plus sûre façon pour les plus sensibles de lutter contre les rigueurs hivernales.

Faites vos courses, vaste est le choix : du radiateur à quartz Radiateur quartz infrarouge (dernier cri !) au simple convecteur Chauffage d'appoint, du radiateur électrique design Radiateur électrique à la colonne céramique Colonne céramique LED (led) lookée façon enceinte hifi, du chauffage d’appoint Chauffage d'appoint électrique...façon grille-pain ! à l’allure de grille-pain au chauffage radiant infrarouge Chauffage radiant infrarouge électrique, sans oublier bien sûr le classique radiateur monté sur roulettes Radiateur infrarouge (technologiquement modernisé bien sûr), il y a de quoi rendre l’hiver supportable avec une probabilité d’en réchapper assez importante.

 

     Si vous avez l’incroyable malchance d’être à la fois frileux et désargenté, faute d’appareil de chauffage supplémentaire et de cheminée, vous pourrez toujours dresser un joli feu de joie Feu de joie à domicile en brûlant tous vos meubles, tel ce pauvre Bernard Palissy -artiste exigeant et entêté- qui eut recours (vieux souvenir d’école primaire) à cette extrémité Bernard Palissy brûlant meubles et plancher pour perpétrer son art ; c’était pour la bonne cause Bernard Palissy - Plat orné en son centre d'une allégorie de la Fécondité (vers 1580-1590) !

 

            Allez courage !, l’hiver ne durera pas plus de dix mois ; revigorant non ?…

 

 

Bernard Palissy (1510-1589 ou 90)

(© 2014/droits réservés)

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Existentiellement elle

Posté par BernartZé le 7 octobre 2014

Le vide - Antoni Taulé (1983)

Du baume au cœur

  

            Elle aurait bien aimé trouver quelqu’un à qui parler ; mais plus personne plus rien à vingt mille lieues à la ronde sur terre.

 

     Il faisait toujours froid dans sa grande chambre d’hiver où résonnaient les courants d’air et les regrets ; pire que dans la plus désaffectée des églises Eglise vide.

Même chez elle, faute de foi et d’espoir, cela faisait longtemps qu’elle ne priait plus, n’attendant ni changement ni fin.

A défaut d’interlocuteur seule une chaise vide Chaise vide lui faisait face, durablement occupée par une vieille valise de voyage Valise de voyage ; voyages fait par ses grands-parents du temps de leur jeunesse dorée et aventureuse.

Elle était emplie de cartes de photos de souvenirs en tous genres et de chemins tracés à travers le monde qu’elle n’avait jamais vu autrement qu’en imagination.

Aucune photo personnelle si ce n’est d’elle à cinq ans Brigitte Fossey (dans Jeux interdits) ; ou bien était-ce la photo d’une autre ?

De toutes façons elle avait décidé un jour de ranger la valise dans le fond d’un placard au milieu de chaussures qu’elle ne portait plus depuis de longues années ; plus envie.

Plus d’envies de promenades et de se perdre au hasard des rues ; plus le goût à baguenauder ni à marcher le nez en l’air en s’emplissant les poumons de bon air et les yeux d’images pleines de vie.

 

     Un soir en rentrant chez elle, elle avait fermé sa porte et décidé de ne plus jamais sortir, sauf par nécessité absolue (Sac de courses vertes) une fois toutes les deux semaines.

Son Chat noir (le nez en l'air) en était mort à force d’attendre sa Pâtée, toutes les plantes vertes aussi, à l’exception d’un vieux cactus Cactus en pot qui se desséchait sur pied depuis plus d’une décennie.

Demeurait dans un angle supérieur de sa chambre juste en-dessous du plafond un bout de frise animalière et végétale Frise nature.

 

     Avant d’en venir à une extrême extrémité du genre Jardin de Vienne elle avait essayé de se soigner.

Pas question de consulter ; alors de temps en temps du chocolat en petite quantité Carrés de chocolat noir pour tenter de se remonter le moral et un Sourire ''blanc'' pour réussir à s’oublier.

Cela fonctionna sur son esprit de moins en moins bien jusqu’au jour où elle ne put plus s’offrir ce genre de consolation faute de moyens.

Pilules de Prozac Une bonne dose journalière d’antidépresseurs aurait-elle pu encore l’aider à ce stade ?

Pas de médecin, pas d’ordonnance ; nul ne le saura jamais.

 

     Faute de détails et de certitudes, on imagine que, sortant de plus en plus rarement puis plus du tout, elle a fini par s’amoindrir progressivement jusqu’à ne plus pouvoir quitter son lit.

Quand a-t-elle senti ses dernières forces l’abandonner ?

Peut-être des années avant de disparaître…

 

            Pauvre petit cœur malade qui n’a pas su trouver seul une caresse pour le sauver.

What a pity !

Mais mimi le champi Mimi le champi ! (rien à voir).

 

 

Valise recyclée 

(© 2014/droits réservés)

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Fut’inutilité

Posté par BernartZé le 4 octobre 2014

 Vitamine D

Préparez-vous à signerPréparez-vous à signerPréparez-vous à signer

            Depuis combien d’années avez-vous omis d’aller vous faire dorer la pilule ?

 

     Les temps sont (de plus en plus) durs et les cures de soleil Cure de soleil se faisant aussi rares que les vacances prolongées au-delà de six (le temps de refaire les bagages) jours, le déficit en vitamine D finit -avec l’âge- par se révéler problématique, bientôt néfaste.

 

     Capture de rayons La capture du soleil ne pouvant se faire naturellement, il s’avère indispensable d’agir sans tarder ; à cent-deux ans il sera un peu tard.

Privé de rayonnements UV, en faible mais régulière quantité, l’humain prend le risque de se désagréger rapidement, ne synthétisant plus la miam-miam D !

D’où des cascades de carences et des cassages de figure pouvant directement mener au plâtre voire à un séjour hospitalier prolongé pour abus de décalcification osseuse Ostéoporose !

Quand l’ostéoporose vient à pointer le bout de son nez, c’est le début de la fin des haricots et la déconstruction du corps brique par brique Briques Tetris.

Nettement moins drôle qu’un jeu presque millénaire mais beaucoup plus prise de tête Tetris head de corps et d’esprit in fine.

Vade retro, satana « Vade retro, satana » (V R S) !

 

     La quête du Graal demandera patience et endurance (en cours de route trois ou quatre Carrés de chocolat Tetris bien cacaotés ne pourront qu’apporter réconfort et consolation) à celui ou celle qui devra s’astreindre (façon de parler…c’est pas la fin du monde !) à avaler de temps en temps une ampoule Ampoule Zyma D pour traiter sa carence en vitamine D.

Gober des œufs de poule Œufs de poule (sans les poussins) constituera un plus pour son organisme renaissant !

 

            Le soleil est irremplaçable et pourtant bientôt la nuit la plus noire Nuit presque noire (non, non sans lune !) tombera sur nous et nous n’y verrons plus rien, pas même le sol sur lequel -aveugles- nous seront condamnés à marcher ; ta ta tam !!

 

Souriant soleil 

(© 2014/droits réservés)

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