Posté par BernartZé le 13 avril 2015
La loi de Murphy
de cette loi dite de l’emmerdement maximum !
Selon Edward A. Murphy Jr. « Tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera nécessairement mal »
Certains jours -trop nombreux- je l’avoue : cette terrible règle me paraît d’or, se vérifiant de manière absurde ; elle finit par me taper sur le système nerveux ; royalement et dans les grandes largeurs !!
Tout semble partir en quenouille (restons polis) et plus rien n’est sous contrôle.
C’est la fin des haricots 
et malgré moi j’enrage…stupidement.
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Posté par BernartZé le 13 avril 2015
Consolation
(thème récurrent)
Sans doute seule une névrose peut expliquer ce besoin inextinguible.
Encore et toujours espérer un refuge 
un accueil, un soulagement qui ne vient jamais.
Jamais de repos pour l’âme qui ne peut trouver la paix.
Jamais de paix pour celle ou celui qui n’a pas d’accointance avec la vie et qui attend depuis son plus jeune âge que son cœur lâche (
!)
Sans jamais réussir à comprendre pourquoi l’on est né ainsi, voir le bonheur des autres fait plaisir (sauf pour les jaloux) mais ne compense en rien la peine ; et le poids du fardeau demeure lourd à porter.
S’efforcer le plus souvent de sourire pour dissimuler la grimace 
que la douleur inflige naturellement ; toujours une faute à se faire pardonner…
Toujours le crime d’être encore « en vie » (!) alors que d’autres qui auraient aimé vivre sont injustement morts.
Si un dieu existe il semble laisser les Hommes libres de se fourvoyer et de se méprendre sans fin sur le sens de la vie ; seuls les oiseaux hantent désormais les voutes des églises 
tandis que les damnés de la terre 
continuent à se fracasser sur le même « bloc de ténèbres » ; telle est à jamais leur destinée 
.
Douter trembler se tromper et voir continuellement le gouffre à ses pieds.
L’amour n’est rien sans un minimum d’amour de soi ; et il n’est pas donné à tous de ne pas se haïr.
Une vie sans amour ?
Un précipice sans fond peut-être…
Que les cœurs des âmes tourmentées lâchent enfin et qu’enfin s’ouvrent les portes de la nuit…
forcément lui encore
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