• Accueil
  • > Archives pour le Jeudi 17 septembre 2015

L’absolu absolu

Posté par BernartZé le 17 septembre 2015

Diane Tell

Moi, si j’étais une femme…

 

             …Je serais capitaine de ma vie.

 

     Je te dirais des choses insensées, des choses banales et vaines, des choses qui ne se disent plus.

J’attendrais sans t’attendre ; j’espèrerais des mots des gestes des signes de toi.

Je te rêverais drôle tendre et plein d’esprit.

Je te voudrais patient impatient et léger ; je te souhaiterais ni trop près ni trop loin.

Et puis je partirais.

 

     Pour éprouver tes sentiments je t’enverrais des cartes postées de tous les pays traversés ; des billets doux de quelques lignes pour mesurer ton inclination ta confiance et ton empressement ; tu me joindrais poste restante (!)

Ton grand cœur et ta sincérité seraient mis à mal mais tu saurais demeurer bienveillant.

Dans mon voyage j’aurais à me garder de terribles écueils, croisant au large des mers dangereuses ou devant éviter de justesse de couler au fond d’un lac.

Je craindrais ton oubli tout en comptant sur ton indulgence.

Mon orgueil serait sans doute mon pire ennemi ; au bout d’un long temps je craindrais ta lassitude et ta légitime négligence.

 

     Et puis je reviendrais.

Craignant ta tiédeur suite à la méchanceté que tu aurais cru deviner en moi, je me ferais nouvelle et romantique.

Je serais sensible et pleine d’égard, guettant une preuve et cependant jamais soumise.

Ton sens de l’humour conjugué au mien ferait merveille mettant nos émotions à l’unisson.

 

            Je je je…mais je ne suis qu’un homme qui t’espère encore…

  

 

Carte du Tendre 

(© 2015/droits réservés)

Publié dans L'expérience ultime (!) | 1 Commentaire »

A toutes les inaudibles les muettes les « sans grade »

Posté par BernartZé le 17 septembre 2015

Pomme (La Dentellière, 1977)

Pom pom pom pom

          

            « Il sera passé à côté d’elle, juste à côté d’elle, sans la voir.

Parce qu’elle était de ces âmes qui ne font aucun signe, mais qu’il faut patiemment interroger, sur lesquelles il faut savoir poser le regard.

Un peintre en aurait fait autrefois le sujet d’un tableau de genre.

Elle aurait été lingère, porteuse d’eau ou dentellière. »

   

 

Beethoven  Isabelle H.Pomme pomme pomme pomme

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Hommage... | Pas de Commentaire »

Mon dieu quelle colère !

Posté par BernartZé le 17 septembre 2015

Obscurantisme (Goethe)

Contre-anathème

            

            Aucun Dieu ici-bas ou ailleurs ne me dictera jamais sa loi !

 

 

Anathème (par François Mouillard)

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Du poil à gratter... | Pas de Commentaire »

 

60 millions de cons somment... |
riri1524 |
Le Plateau Télé de KeNnY |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Soft Liberty News
| t0rt0ise
| Bienvenue au Thomaland