A mourir de rire
Posté par BernartZé le 11 mars 2016
C’est drôle
(plus ou moins)
Les années passent et nos anniversaires reviennent avec souvent moins de joie.
Le cœur n’est-il plus à la fête ou n’avons-nous plus rien à souffler de ces traditions de l’enfance qui donnaient l’occasion de s’extasier devant un gâteau illuminé et dégoulinant parfois de trop bons sentiments ?
Une dizaine de bougies histoire de marquer le coup et puis hop !
Les consciences étaient supposées (ensuite) tranquilles ; que la paix soit avec tous !
Noël en plein automne…
L’harmonie pour certains n’était pas de mise ; étrangère, hors de propos, hors saison.
D’une fausseté presque indécente.
Autre violence : des gifles en rafales pour apprendre l’avis indiscutable ; amen !
L’hiver durait jusqu’au printemps et au-delà…
Qu’importe la météo quand il gèle en enfer ; les corps se glacent, les os se brisent et pleuvent autant d’hématomes et de giboulées en mars qu’en avril ; toutes les saisons se confondent.
Fallait-il être imbécile pour se croire apte à se sauver tout seul ?
Pour certains la chance, le courage la force ou l’entêtement ; pour d’autres autant de lassitude que d’épuisement avant le renoncement.
Tous les petits poissons ne deviennent pas grands…
(© 2016/droits réservés)
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