Farine élue

Posté par BernartZé le 23 janvier 2017

Vermicelles de riz

Il n’y a pas que le blé dans la vie

 

             Non, il y a aussi la farine de riz !

 

     A quelques jours de la nouvelle année il n’est plus temps d’ergoter.

L'année du coq Le coq sera à l’honneur ; inutile de bomber le torse et de mettre en avant un chauvinisme déplacé, vous n’êtes pas concerné si telle est votre réaction primaire.

Oubliez vos œillères tricolores, passez votre chemin ou acceptez de vous ouvrir à une vision plus orientale, en rouge et or.

Acceptez avant tout l’altérité…

 

     Sortez de vos maisons trop closes et formatées Alvéoles pour découvrir d’autres mondes d’autres connaissances et d’autres cultures.

D’autres saveurs aussi puisque c’est souvent par le ventre -dès la naissance- que se construit une vie.

Pour parler simplement et éveiller vos estomacs, voici une sympathique alternative à vos sempiternels plats de pâtes noyées dans des sauces en tous genres : Soupe vermicelles de riz nam vang Soupe Vermicelles de Riz Mama Pho Ga (Poulet) Soupe Vermicelles de Riz Vifon PHO BO (Boeuf) Soupe Vermicelles de Riz Vifon PHO GA (Poulet)

De quoi faire vibrer nombre de palais en une révolution gustative dérivée du riz.

Et pour les plus aventureux : Vermicelles de riz transparents (saveur champignon) (2) à base de farine d’haricots verts.

Sachant que les réactions oscillent généralement entre le beurk et le miam miam à vous de vous faire une opinion.

 

     Dans tous les cas, si vous voulez voyager loin, oubliez vos a priori et n’écoutez pas les conseils plus ou moins avisés ; pas davantage celui que vous venez de lire.

 

            Quant aux coqs…

 

Vermicelle de riz

(© 2017/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | 2 Commentaires »

Coïncidence historique

Posté par BernartZé le 7 octobre 2016

Louis II de Bavière  Jean Camille Formigé

Rapprochement familial

  

            Cousins de cheveux peut-être ?

 

     Tout le monde connaît Louis II de Bavière ; ou plutôt croît connaître, surtout les contre-vérités alimentant sa légende (…).

Jean Camille Formigé est nettement moins célèbre, sauf sans doute pour ceux qui ont fait une école d’architecture et qui s’intéressent aux créations passées.

 

Ces deux hommes -aux portraits ressemblants- sont tous deux nés en 1845, le girondin ayant survécu quatre décennies à son « copain » bavarois.

Leurs royales destinées n’ont rien eu en commun.

 

     L’architecte français est revenu dans l’actualité quatre-vingt dix ans après sa mort grâce à l’une de ses grandes œuvres La grande serre (palmarium) du Jardin des serres d'Auteuil réalisée du côté de la Porte d’Auteuil et d’un stade…où l’on ne joue pas au football (ça existe !)

Depuis plusieurs années, en vue des travaux d’extension du complexe sportif, la guerre fait rage entre les défenseurs du patrimoine et les amoureux de la petite balle jaune.

Depuis plusieurs années (bis) l’état français, à travers ses différentes instances juridiques qui ne cessent de se contredire, n’en finit plus de se montrer incapable de trancher.

Un pas en avant un pas en arrière ; la balle reste au centre et les moqueries fusent…à juste titre.

Heureusement que le ridicule ne tue pas selon un proverbe bien français.

 

            Pendant ce temps les deux « cousins » continuent de reposer en paix.

 

 

Le Saladier d'argent (trophée Coupe Davis)  Fleur tropicale 

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

(Un peu, beaucoup…)

Posté par BernartZé le 13 septembre 2016

Bris de verre

Tous fêlés !

  

            Tant va la cruche à l’eau

 

     Qu’il s’agisse d’êtres humains de verres ou même de cruches nous sommes tous en sursis…pour finir tous brisés.

 

Le parcours de la peine J-L M. (extrait photo ''Face Nord'', 1994) qui vous heurte qui vous traîne tout au long de la route tout le long de la vie laisse des traces.

Des ébranlements et des rudesses naissent immanquablement des fêlures qui vous feront tomber en morceaux (plus de mille).

Au cours de notre obsolescence programmée adviennent des maux qui nous érodent et nous assaillent violemment au cœur de nos tempêtes ; à chaque fois vainqueurs, chaque fois affaiblis.

Certaines gens n’en ont pas conscience et sans doute s’en portent-elles bien mieux.

D’autres cependant…

 

     Coupe à champagne Silhouette Levons nos coupes à tous nos moments d’inconscience qui nous permettent de tenir de lutter et de durer encore un peu en dépit de nos fins prévisibles.

Levons nos verres avant qu’eux-mêmes ne se brisent et avec eux nos dernières prétentions nos dernières illusions.

Ne nous laissons pas aller vers nos penchants naturels pleins de pensées funestes à l’excès.

Il serait trop facile de porter à nos lèvres avant l’heure la dernière flûte Flûte de deuil arborant déjà notre deuil.

Que flottent nos âmes telles des cygnes à la surface de nos nuits les plus noires Extrait photo Jean-Louis-Murat - ''Morituri'' (2016).

Que nos corps se débarrassent du poids de notre culpabilité nous permettant ainsi de croire au retour d’une possible innocence.

 

            Que cette folle prière soit entendue…

  

 

Irradié de lumière  (vers la lumière ?)

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

(Sans réel intérêt)

Posté par BernartZé le 4 septembre 2016

Pyjama ''Singing in the rain''

Pilou pilou !

  

            Les apparences sont trompeuses, l’automne approche.

 

     Après un bref épisode « caniculaire » (n’exagérons rien tout de même) et une fin d’été clémente viendra fatalement l’automne ses pluies et ses vents contraires.

Il nous faudra sortir couverts et ressortir les couvertures et toute la literie adéquate aussi pesante que supposée nous permettre de mieux souffrir l’hiver.

Enfin, cerise sur le gâteau, nous courrons tous retrouver nos pyjamas !

Adieu les tenues légères (ou l’absence de vêtement) autorisant à se glisser voluptueusement dans les nuits estivales ; les rigueurs à venir seront plus exigeantes, éprouvantes aussi.

Raison de plus pour se parer de réconfort et de tissus épais synonymes de chaleur et de…gilets pare-froid.

 

     Pyjama jogging Pyjama jogging ou pyjama de papa toute la question est là.

Le premier vous (pardon à toutes les femmes qui se sentiraient momentanément exclues du propos ; quoique les tenues mixtes…) donnera une allure (faussement ?) sportive et un air dégagé au sortir du lit, l’autre vous rappellera père et grands-pères en cas de choix hasardeux.

Rassurez-vous le mauvais goût est permis surtout si vous vivez seul.

Cela étant un brin d’humour  Motif ''Singing in the rain''(culturel !) est fort bienvenu surtout si vous avez tendance à vous lever en grommelant.

L’essentiel étant de ne pas attraper froid on peut aussi considérer que la notion de mode n’a rien à faire dans cette quête de bien-être et de chaleur…n’en déplaise aux fashion victims qui s’ennuient autant le jour que la nuit !

 

     En harmonie avec le temps qu’il fera bientôt vous pourrez peut-être danser et chanter sous la pluie Singin' in the rain…si vous savez danser et -surtout- si votre lit est grand.

Le pilou, 100 % coton pelucheux très confortable chaud et bien doux (oh ! le bel argument publicitaire), vous fera passer de douces nuits durant l’automne l’hiver et le printemps (…).

Prenez garde aux contrefaçons et à cet engagement non contractuel.

Les frileux de tous poils continueront à éternuer sous les draps et les couvertures.

 

            En cas dÉté indien ne suivez pas la flèche et oubliez ce scribouillis sans intérêt.

 

 

L'été indien  (Sait-on jamais quels seront les prochains caprices du temps…)

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

Mot d’excuse : c’est l’été

Posté par BernartZé le 23 août 2016

Botte de poireau

La botte de l’hiver

(au cœur de l’été)

  

            N’oubliez pas de vous désaltérer afin de parer à une possible défaillance !

 

     Entre deux ou trois apéritifs Cocktails pour l'été, il faut bien boire…autre chose.

De l’eau, beaucoup d’eau, ça coule de source évidemment, comme du robinet.

Mais passées les eaux plates ou gazeuses qui vous font aller fort, sans oublier -surtout pas- l’eau minérale naturellement gazeuse débordant de magnésium comme n’arrête pas de nous le seriner son PDG (plus soûlant qu’un mojito) un peu secoué Pierre Papillaud (PDG de R.) (vive les effets pervers des publicités !), certains palais en manque de saveurs se plaignent.

Ils ont soif d’autres cocktails sans alcool.

Outre les classiques jus à base de tomate Jus de tomates et de légumes Fresh vegetable smoothie (photos non contractuelles) bizarrement plus rares dans les cafés, que reste-t-il à avaler à part les gazpachos ?

Mais si l’on ne digère pas l’huile d’olive…

 

     Et donc votre planche de salut pourrait être une soupe en plein été.

Nulle hérésie dans cette suggestion car nombre de bonnes soupes hivernales peuvent se déguster froide ; une fois testées cela semble frappé au coin du bon sens.

Suivant l’équipement dont vous disposez en cuisine vos choix seront plus ou moins grands.

Si un blender Blender ou autre mixeur aussi bruyant (et encombrant) fait partie de votre paysage, vous avez la possibilité de faire tous les mélanges imaginables à votre goût ; et vive les vitamines !

Dans le cas contraire il vous faudra vous contenter de ce que vos moyens vous permettront de vous offrir.

Soit des soupes veloutées en brick ou en sachet Velouté de poireaux pommes de terre (aucune velléité publicitaire).

Des soupes à base de champignons, cresson, poireaux (avec le plus souvent un taux de pommes de terre plus élevé, question de prix de revient !), potiron ou potimarron (très à la mode depuis ces dernières années), légumes plus ou moins verts (dont la liste laisse pantois), poissons (…), tomates, asperges et autres produits exotiques.

Et du sel, beaucoup de sel, énormément de sel sous prétexte de relever le goût…quitte à donner plus encore soif.

La loi du marché.

Si vous utilisez une soupe déshydratée pour vous fabriquer votre boisson estivale n’oubliez pas de vous équiper d’un chinois Un chinois ou à défaut d’une élégante passoire à thé Une passoire à thé afin de retenir tous les grumeaux et autres résidus qui s’avèreraient malvenus à l’heure de vous délecter.

Remarque : la dose d’eau est totalement aléatoire ; fonction de vos élans elle devra être plus grande si vous n’aimez pas la sensation salée…quitte à en faire un breuvage sans saveur.

Il faut savoir choisir et faire des sacrifices si vous voulez que des couleurs illuminent votre été Couleurs estivales !

 

            Si après toutes ces propositions vous n’avez pas trouvé le moyen de ne plus souffrir de la soif, rabattez-vous sur une armée de bouteilles d’eau Group plastic bottles of water isolated on white.

Ne buvez plus rien d’autre et surtout renoncez à vos doses (bi-)quotidiennes de pastis.

 

 

Pastis

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | 6 Commentaires »

On peut toujours rêver (parfois)

Posté par BernartZé le 21 juin 2016

Surfboard

A moi l’été !

 

             J’ai trouvé ma prochaine tenue de plage et de surfeur des mers.

Bermuda (Battle Beach) + Chemise à carreaux bleus (look Pacific !) (pour cacher parfois ma musculature avantageuse).

 

     Manquent seulement à l’appel le Soleil bis et une température Grimpette du thermomètre s’éloignant définitivement des froidures de l’hiver.

Peu de choses en somme !

 

            Je m’y vois déjà…

   

Vagues bleues 

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

Maille à partir avec les cottes anglaises

Posté par BernartZé le 13 avril 2016

Gilet double zip

Plus bleu que mon gilet bleu

 

            Fermeture éclair  Et c’est là que le bât blessa.

 

     Double entrée double zip ; je n’ai jamais compris comment le fermer, faute de notice.

Presque impossible de ne pas se coincer les doigts sans s’emmêler les mailles (anglaises) et les pinceaux.

Quelle idée d’enfiler ce gilet sur un pull et sous une parka Parka Tout-Terrain bleu-noir par temps d’orage !

Il faut bien dire aussi que le ciel était loin d’être bleu ce matin-là, que j’étais en retard et que mon rapapluie Mini parapluie en panne (le charme du tout automatique) était resté à la maison.

Quand vint la pluie j’étais déjà mouillé avant de pouvoir m’abriter sous un porche pour tenter d’extirper la capuche de mon col.

J’y parvins à grand-peine à l’issue de mouvements de gymnastique peu recommandés pour un dos en déconstruction permanente.

Voulant ajuster -avant de redécoller de mon abri- mon pull et mon gilet sous la parka, j’ai réussi à prendre en tenaille le pull…le gilet et la parka !

On est doué ou pas.

 

     L’impression de soudain étouffer suffoquer et de m’étrangler fit un tour de grand huit dans ma tête et me rendit plus fou que je ne l’étais déjà.

En pleine crise de panique je me suis débattu comme un diable, arrachant mes vêtements, avant de parvenir à respirer de nouveau.

J’étais torse nu sous la pluie et bien évidemment je me suis enrhumé en un éclair ; je ne suis pas allé travailler ce jour-là ni les jours suivants.

 

            Ayant survécu à cet épisode tragi-comique, j’ai continué à porter des pulls et des gilets en cottes anglaises Mailles anglaises, préférant définitivement les boutons-pressions.

 

     Vive les travaux manuels et le recyclage !…

 

 

Recyclage  (Il n’y a que maille anglaise qui m’aille)

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

Délires et débordements

Posté par BernartZé le 29 mars 2016

Lindt Excellence Noir 64% Satin

Nuits de satin noir

  

            La volupté de ne plus être…

 

     Revenait chaque nuit le même cérémonial.

Assise sur le lit elle diminuait l’intensité de la lampe de chevet avant de rallumer la bougie cendrée Bougie gris soie…qu’elle achetait par lots de six afin de pouvoir la remplacer dès qu’elle considérait qu’elle ne ressemblait plus à rien, faute de cire.

Alors, quand la lumière se faisait plus douce, elle pouvait commencer.

Avec un soin immense elle sortait délicatement la tablette de son emballage cartonné en prenant garde de ne pas la casser ; surtout pas !

L’enveloppe d’aluminium scellée était le dernier obstacle à franchir prudemment.

Sans se vouloir trop résistant il préférait parfois se déchirer plutôt que de se laisser faire ; un couteau était souvent nécessaire pour éviter un effroyable dommage.

Et enfin s’offraient de nouveau à sa vue les carrés magiques Dix carrés d'excellence plein de promesses ; mats et brillants, fins et subtils.

Tout en brûlant d’impatience elle s’appliquait à découper (sans les « rompre » !) les carrés deux par deux sur la longueur puis un par un au moment de les savourer.

Procéder autrement aurait été un sacrilège.

Et alors…

 

   Elle portait à ses lèvres le chocolat avec autant d’attentions que d’abandon et pour varier ses sensations elle dégustait des demi-carrés, les appréciant aussi en « double épaisseur ».

Seule l’expérience permet de découvrir une saveur légèrement différente.

Elle retrouvait enfin son paradis perdu qu’elle avait eu à peine le temps d’apercevoir dans sa jeunesse.

Enfin réconfortée elle sombrait, ivre et repue.

 

     Se sachant maniaque et obsessionnelle elle n’envisageait pourtant plus de se guérir depuis longtemps.

Elle se sut dépendante à l’issue de la première nuit où elle avait dégusté deux tablettes sans même avaler une gorgée d’eau.

Et puis la porte devint de plus en plus étroite ; son corps se révolta atteignant ses limites.

La maladie mit fin à ses nuits blanches.

 

            Enfin…

 

 

Une mort sucrée - Claude Tardat, 1986  Nights in white satin - The Moody Blues (1967) 

(© 2016/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | 6 Commentaires »

Suite (et quintette en la majeur)

Posté par BernartZé le 4 janvier 2016

Terrine riche en saumon & à la truite (pour chat)

Miam miam !

(seconde partie)

  

            Nouvelle année ; reprise des tests de goût et d’habitudes comportementales.

 

     Testeur de (bon) goût Vue ma blanche innocence nul ne pourra mettre en doute mon désintéressement et ma probité.

Afin d’éviter les rencontres hasardeuses de lendemains de réveillon, j’ai préféré demeurer au rayon poissonnerie.

J’ai manqué de peu de mettre la patte sur un pavé goûteux Pavé de saumon et j’ai dû me rabattre sur une petite terrine qui ne payait pas de mine ; autant dire que je fus d’abord déconfit et amer.

Puis je me suis résolu à me faire une joie d’une autre découverte.

J’ai mastiqué doucement et prudemment avant d’être surpris par une impression moins pierreuse que prévue et une perception plus sûre des aliments de base ; il y avait du poisson là-dedans !

Lequel ? Je n’aurais su dire, mais j’ai appris plus tard que cette terrine ne contenait pas moins de 14% de saumon et 4% de truite ; plus que royal !

Certes je ne pouvais espérer en la mangeant entendre la célèbre truite La truite de Schubert vivre avant d’expirer.

Ce repas a cependant eu le don de réveiller mes papilles et de me redonner l’envie du partage.

 

            Ce que je dus faire le jour suivant…

 

La fameuse truite  Les lunettes de Schubert

(© 2015/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | Pas de Commentaire »

Why not ?

Posté par BernartZé le 28 décembre 2015

Terrine au saumon (pour chat)

Miam miam !

  

            Est-il possible de se nourrir exclusivement de terrines et d’aliments en conserves pour chats ?

 

     Si vous êtes un chat la réponse est oui.

Si vous êtes un chien, demandez des témoignages à vos proches qui vous feront part de leurs expériences de vie.

Si vous êtes un être humain…il faut voir !

Au menu : viandes poissons et sous-produits d’origines animale et végétale.

Un sous-produit est un résidu (de quoi saliver par avance), soit ce qui est resté après la transformation d’aliments eux-mêmes d’origine et de goût parfois incertains.

Des minéraux et du sucre renforceront votre organisme et exciteront vos papilles ; des additifs nutritionnels secrètement codés vous donneront plus de vigueur.

Un beau programme.

 

     4 % semble être le taux le plus couramment répandu en matière de « teneur garantie » de saumon (par exemple)…dans le sous-produit de poisson ; royal !

Cela fait d’autant plus rêver que des additifs technologiques (conservateurs) font partie de ce mets plein de saveurs.

Un plaisir auquel votre chat ne pourra pas résister !

Mais vous humains ?

 

     Cet « aliment complet » (de source publicitaire sûre) saura-t-il vous maintenir en forme durant toute une vie ?

Il faut le tester.

Un bouquet de saveurs de pierres croquantes de gras et d’un ingrédient principal difficile à déterminer ; on est bien loin de chez Fauchon évidemment.

Mais qui peut aujourd’hui se contenter de ce fournisseur ?

L’exclusivité n’est désormais plus possible, même chez les nantis en quête de toujours plus de richesses (matérielles).

 

            Certaines gens ne font plus leurs courses que dans les rayons animaliers de magasins hard discount…

  

 

Logo Leader Price Logo Dia…Miaou !

(© 2015/droits réservés)

Publié dans N'importe quoi !! | 2 Commentaires »

123456
 

60 millions de cons somment... |
riri1524 |
Le Plateau Télé de KeNnY |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Soft Liberty News
| t0rt0ise
| Bienvenue au Thomaland