Protégé : Il en aura été ainsi

Posté par BernartZé le 19 juillet 2017

Cet article est protégé par un mot de passe. Pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous :

Publié dans Non classé | Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.

364 fois le 5ème d’une demi mesure

Posté par BernartZé le 21 novembre 2016

Corps décharné (Marie Tucat, 2007)

Tête de cadavre sur un corps décharné

  

            Tu ne ressembles plus à rien.

 

     Buste de Jules Dalou (Rodin, 1883) Fier toujours tu insistes et signe toutes tes erreurs comme l’artiste que tu fus avant guerre.

Es-tu sorti d’un camp ou échappé d’un hôpital malgré le peu de forces qu’il te restait ?

Quand les médecins t’apprirent que tu faisais moins de la moitié de ton poids de forme tu ne sourcillas pas.

Quel traitement un quelconque tortionnaire t’as-t-il infligé pour te transformer en cette ombre sur le point de passer ?

Tu sembles l’avoir oublié.

 

            Tu fais peur.

 

 

Anonyme  

(© 2016/droits réservés)

Publié dans Non classé | 2 Commentaires »

En soustraction peut-être

Posté par BernartZé le 22 janvier 2016

B.

Le besoin et l’envie

  

            Déjà s’efface l’image…

 

     Dire une peine grandissante et le désir de la délivrer est-il déplacé inopportun ou incongru ?

A quoi servirait-il de chercher des nuances dans ces synonymes à l’heure où tout vacille ?

L’important n’est-il pas d’exprimer une émotion sincère lorsqu’elle est ressentie ? ; on peut aussi la taire.

De même continueront sans doute longtemps les « grands médias » à ne pas nous tenir informés de l’évolution clinique d’un artiste, faute de raison sensationnelle.

Quand il ne s’agit pas d’un grand sportif, accidenté sur l’herbe ou sur une pente enneigée, dont les réseaux sociaux ne nous épargnent pas le moindre rhume, ni d’un people pris en photo et en flagrant délit de relâchement (ventre un peu mou sur la plage ou lors d’une soirée festive), à quoi bon se fendre d’une nouvelle inutile ?

 

     Montre gousset Colibri Toutes les heures comptent, toutes les heures blessent

Trouver la lumière s’avère primordial quand l’ombre s’étend subitement sur un être.

La vie, dès la naissance, n’est-elle pas la première des violences imposées ?

D’autres suivent ; de malheurs en mal heurts chacun s’efforce de guérir et d’accepter les épreuves successives imposées par les hasards de l’existence.

Lutter encore et toujours, en dépit de la raison et de l’absence d’une foi aveugle.

 

            Mais quand viendra la fin ?…

Black, ''When it's over'' (2015) 

 

 

Entre l'ombre et la lumière

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | 7 Commentaires »

Purement anecdotique

Posté par BernartZé le 1 juillet 2015

Bouton sonnette argent (barrée)

Toc toc toc !

  

            Qu’aurait-ce été si j’avais écouté de l’opéra à donf…qui -comme chacun sait- ne tolère pas la sourdine ?

 

     Mes voisins sont charmants.

En plein milieu d’après-midi d’un week-end estival tandis que je faisais mes ablutions capillaires on toqua à ma porte ; ma Sonnette étant (volontairement…pour m’éviter de sauter nerveusement au plafond à chaque fois !) débranchée, il me fallut un temps de latence pour entendre et comprendre les coups portés à moins de deux mètres.

Tout mouillé de la tête je courus en marchant (!) dans le couloir et une voix féminine me demanda de bien vouloir baisser le son.

Une voisine de palier, d’un étage au-dessus d’en-dessous ou venue exprès de l’autre côté de la cour ?

Je ne le saurai jamais (m’en fous un peu beaucoup), mais je me suis entendu dire quelque chose comme « ah ? d’accord désolé, excusez-moi » ; et pourquoi pas de lui cirer les chaussures en prime !

Je me suis cependant exécuté.

 

     S’excuser, demander toujours pardon ; dans certains cas la « bonne éducation » peut s’avérer déplorable, voire carrément risible.

Forcément j’étais en faute, forcément j’avais fait preuve d’un manque de savoir vivre évident !

Mea culpa mea culpa bis ter etc.…

Ma mini chaîne (d’une puissance modérée, à la mesure d’un appartement d’une seule pièce !) jouait son rôle à distance en coulant dans mes oreilles de la « techno electro acid jazz nu jazz deep house » (ouf !!) ; pas de quoi fouetter un chat.

[From Detroit To St Germain - St Germain (1999) pour info et pour les plus curieux]

 

     Mein Gott ! Si j’avais été surpris en pleine Chevauchée des Walkyries ''Grosse Walküre'' !

Tonnerre de Dieux !!

Richard W. Richard W. étant loin d’être mon compositeur préféré (je l’ai jusqu’à présent insuffisamment fréquenté), j’aurais pu ce jour-là réécouter pour la trois-millième fois un opéra de Verdi ; aurait-il plus plu aux oreilles de « ma voisine »…au degré de tolérance peut-être un peu limité ?

 

            Depuis (pourtant) je ne cesse de m’interroger : ai-je brutalement interrompu la sieste d’un enfant ?

Forcément coupable je demeure…

 

 

Bouton sonnette or  Je sursaute…

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »

Celui « kiri »

Posté par BernartZé le 13 juin 2015

Jay-Jay Johanson

Le retour du grand blond

(publicité désintéressée)

            

            Sans chaussure noire mais en chaussures de ville (suédine beige Chaussures de ville (suédine beige) par exemple) revoilà le grand échalas blond (tellement exceptionnel pour un Suédois !) de 1m89 (précisément 6,2 ft…comme il le confiait dans une des chansons de son deuxième album).

Dix-huit années après le « Whiskey » CD ''Whiskey'' (1997) (hic !!) de son premier opus, voilà qu’il passe à l’ « Opium » dans une remontée musicale du temps.

 

     Revenant aux sons délicats de ses débuts, pop-rock une pincée de folk le tout mâtiné d’accents jazzy, nul doute qu’il sera de nouveau qualifié de « chanteur dépressif à la voix atone » -dès la semaine prochaine- ce que lui avaient reproché ses premiers détracteurs ; c’est aussi ce qui le fit connaître et apprécier par d’autres.

Faut dire !

Commencer sa carrière dans les bacs avec un titre tel que « It hurts me so » et retrouver ses chemins de traverse avec « Drowsy / Too young to say good night » (qui sonne comme un goodbye !) n’est pas très prudent.

Sauf si l’on est un véritable artiste et que l’on a le sens de l’humour et de l’autodérision ; tout le monde ne peut pas comprendre…

 

            Le bonhomme - par provocation peut-être - aurait-il été tenté de se saborder en se faisant harakiri ?…

 

Ambiance de fête et seul morceau dans lequel sa voix reste muette ; à quoi bon se justifier ?

 

     Pour les plus aventureux la découverte, en solitaire, est au bout du chemin Reprendre la route

 

 

Jay-Jay Johanson (Opium, 2015)  Chapeau l'artiste ! 

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | 2 Commentaires »

Des rives

Posté par BernartZé le 26 mai 2015

Œil plissé gauche   Œil plissé

La mort viendra et elle aura tes yeux

 

            Si clairement froncés, si doux si apaisants.

 

     Comme une prière exaucée, comme une leçon avant les ténèbres, ils sauront.

Et je me laisserai engourdir et je me laisserai endormir.

Ils pourront.

 

     Le calme enfin peut-être…

 

 

Cesare Pavese à 16 ans  

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »

Coup de blues

Posté par BernartZé le 22 avril 2015

Il est mort le poète

Et tout le monde a ri

  

            Sans vergogne sans savoir sans même deviner la fin du monde.

 

     Triste siècle…

 

LÈo FERRE                       

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »

Never explain, never complain

Posté par BernartZé le 1 avril 2015

Rupture imminente

Casser ou rompre ?

            

            Se briser en (mille) morceaux En morceaux ou couper le fil ?

Quelle différence au bout du compte ?

 

     L’amnésie ne saura suffire…

  

Alzheimer (2) 

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | 2 Commentaires »

Seulement le plaisir…

Posté par BernartZé le 26 mars 2015

De l'autre rive - Philippe Lafontaine (2003)

Que s’rait la vie sans fantaisie ?

(L’Afrique sans éléphant)

            

            Publicité totalement désintéressée pour un grand funambule de la portée musicale et des mots ; toujours en équilibre.

 

     Vous l’avez découvert, du temps du vinyle, et aimé (il y a plus d’un quart de siècle) avec son fameux « Cœur de loup » Cœur de loup - Philippe Lafontaine (1989) ; deux ou trois chansons plus tard vous l’aviez déjà oublié.

Tout aussi heureux, il s’en est retourné vivre et créer dans son Royaume de Belgique…de l’autre côté de la frontière.

 

     Rassurez-vous, à bientôt soixante ans (eh oui !) l’artiste se porte bien.

Il est toujours « Fin dingue » Fin dingue (confère le titre en exergue) et continue à s’exprimer pleinement sur scène.

 

            Si vous vous avérez rapidement moins « ingrats », suivra peut-être -ici- l’écoute d’un extrait musical…

… … … … …

     Deux jours plus tard : étant donné l’engouement général (nombreux commentaires à l’appui !) suscité par ce petit hommage une écoute musicale sera peut-être la bienvenue.

     Et donc :

Titre « Fin dingue » (2003)

            Joyeuse écoute à ceux qui auront eu envie de cliquer

 

 

Pipou et Lafontaine (1978)  

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | Pas de Commentaire »

Scoop toujours !

Posté par BernartZé le 20 mars 2015

Lindt lait éclats de bretzel

Quels éclats !

  

            Un peu plus de douceur dans ce monde de brutes.

La « tradition » toujours revisitée…

 

     Ils ne savent plus quoi inventer les bougres !

Quand les Suisses ont l’idée et l’envie de mettre leur grain de sel en Alsace, cela donne un mariage étonnant : une alliance surprenante entre un croquant légèrement salé et le fameux fondant de « la recette originale » (depuis 1845 !).

L’idée légèrement saugrenue -sur le papier- s’avère subtile au palais, presque révolutionnaire.

Les amateurs de sucré-salé seront sans doute ravis !

 

     Ce gribouillis ne constituant pas davantage une fiche conso qu’un encouragement à envoyer de stupides votes (surtaxés) à une chaîne en mal de « réelles » nouveautés, il est vain d’y chercher un message caché, midi à quatorze heures ou une raison quelconque de prendre un kilo en moins de vingt minutes.

Chacun est libre d’étendre son champ d’investigations où bon lui semble…

 

            « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » a dit le philosophe (supposé) avisé.

L’origine du chocolat remontant quasiment au « big bang », bien avant Socrate la naissance de la Confédération Suisse ou la création du Royaume de Belgique en tous cas, il est permis de supposer que les maîtres chocolatiers œuvrent pour notre plaisir des sens, tout en faisant évidemment commerce de leur savoir.

Goûter sans se gaver semble une mesure pleine de délicatesse et de raffinement.

Prendre le temps de se faire plaisir permet de…repartir au combat, en somme de survivre.

 

            A quand du gorgonzola ou de la mortadelle dans le chocolat ?

Olé !!

 

Bretzel  Carrés Lindt lait extra fin  

(© 2015/droits réservés)

Publié dans Non classé | 4 Commentaires »

12
 

60 millions de cons somment... |
riri1524 |
Le Plateau Télé de KeNnY |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Soft Liberty News
| t0rt0ise
| Bienvenue au Thomaland